Singulier | Pluriel |
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animal de portage | animaux de portage |
\a.ni.mal də pɔʁ.taʒ\ | \a.ni.mo də pɔʁ.taʒ\ |
animal de portage \a.ni.mal də pɔʁ.taʒ\ masculin
Dans ces sortes d’expéditions, on ne peut utiliser aucun animal de portage, car ni les chevaux, ni les chameaux, ni les bœufs ne peuvent résister aux difficultés du terrain et aux rigueurs du climat ; seul l’homme est assez souple pour se ployer aux exigences multiples des explorations.— (La mission Jean Dybowski du Congo au Chari, dans la Revue française de l’étranger et des colonies et Exploration, tome XVII, Imprimerie et librairie centrales des chemins de fer, Paris, 1893, page 68)
Nous pensons que, avant de chercher à utiliser dans les batailles leur force et de profiter de l’effet de surprise que les éléphants pouvaient provoquer sur des guerriers européens, les Carthaginois les employèrent plus pacifiquement sur les chantiers de mines et les carrières, comme animal de portage et de trait.— (Pierre Hubac, Carthage, Éditions Bellenand, Paris, 1952, page 100)
"Ce sont deux animaux domestiques mais alors que l’alpaga est élevé pour sa toison, le lama, deux fois plus lourd et costaud, est élevé comme animal de portage", explique l’éleveur.— (Esther Buitekant, Alpaga : comment le reconnaître ?, geo.fr, 14 février 2021)
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