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(Nom commun 2)(XVIIIe siècle) L’ouvrage Hau Kiou Choaan, histoire chinoise, traduite de l’anglais par M***, tome 3, Lyon, chez Benoit Duplain, 1767, page 77, indique : « Ce mot Covid paroît être une contraction du Portugais Covado, qui signifie une coudée. » — Note : Il est possible que le mot soit passé par l’anglais, de la même orthographe.
Valentin Madouas étant forfait (covid), seuls deux Bretons seront au départ : le Morbihannais Alan Jousseaume et David Gaudu.— (journal Le Télégramme, édition Morlaix, 30 juillet 2022, pages sportives, page 4)
Le Sietom de Chalosse organise un concours : "Le covid création"— (tartas.fr, Concours "Le covid création", 8 mai 2020 → lire en ligne)
Pendant des mois, le virus covid-19 a été masculin, on disait le covid. Puis les Canadiens, jamais en reste d'une facétie sémantique, ont changé le sexe du mot. Se réveillant d'un long sommeil dogmatique, les Académiciens français, qui souhaitaient désormais être dans le vent, ont avalisé la leçon canadienne et opéré eux aussi le changement de sexe. Il faudrait donc désormais parler de la covid. Qu'on me pardonne ces élucubrations sémantiques, je reste à l'usage du départ et au genre masculin.— (Michel Onfray, La vengeance du Pangolin, Robert Laffont, 2020, page 13)Note : L'auteur confond ici le virus (coronavirus) et la maladie qu'il cause (covid).
Notes
Lorsque le mot est apparu, alors que l’OMS utilisait majoritairement le féminin, on lui a spontanément attribué le genre masculin, sans doute par analogie (voire confusion) avec coronavirus, terme qui avait déjà été employé à profusion dans les semaines et les mois ayant précédé la création du terme covid.
Ensuite, une recommandation de l’Office québécois de la langue française[1] a tranché pour le féminin parce que le d final de covid signifie disease, à savoir maladie. Autrement dit, covid signifie littéralement « maladie à coronavirus », ce qui fait que le féminin est plus logique. L’usage au féminin a rapidement emboîté le pas au Québec, y compris dans les grands médias.
En France, contrairement au Québec, il y a parfois une tendance d’employer le masculin (pour certains sigles) contrairement à ce qui serait logique[2], même si certains trouvent cette tendance regrettable[3]. L’Académie française partage l’avis de l’Office québécois[4]. Ce choix de l'Académie française est cependant contesté en son sein même[5].
Le Robert considère le nom masculin ou féminin, dans cet ordre[6].
En Europe, la graphie ‹ Covid-19 › est la plus répandue, alors qu’au Canada, c’est plutôt ‹ COVID-19 ›.
Les bâtimens de l'Océan occidental, désignés par la dénomination commune de kapan, se divisent en trois classes : 1reclasse. - Grands kapans. Longueur , 74 ou 75 covids et plus; largeur, 23 ou 24 id. — (« Canton ou Quang-Tong », dans le Dictionnaire universel du commerce de la Banque et des Manufactures, tome 1 (A-G), Paris : chez Adolphe Delahays, 1851, page 370)
Les seules mesures de longueur en usage dans le commerce sont le yin, le chang, le chih et le tsun. 10 tsuns font un chih ou covid; 10 chihs ou covids, un chang; 10 changs, un yin. Néanmoins le chih ou covid et le yin sont employés exclusivement. La première de ces mesures est de 14 5/8 pouces anglais, et le chang ou 10 сovids fait un peu plus de 4 yards. La principale mesure de distance est le lely, divisé en 360 pas de 10 covids chaque.— (« Monnaies, poids et mesures en usage : Extrait d'un rapport du Consul général de Belgique à Manille, sur le commerce de Canton » , dans le Recueil consulaire, publié en exécution de l'arrêté royal du 13 novembre 1855 par le Ministère des affaires étrangères, tome 1 (années 1839-1855), Royaume de Belgique, Bruxelles : chez Tarlier, 1856, page 469)