déblaguer \de.bla.ɡe\ transitif ou intransitif 1er groupe (voir la conjugaison)
Dans ses carnets, il semble y songer quand il écrit familièrement : « Il faut déblaguer la science; car la science est souvent l’occasion de dire les plus fortes bêtises sans que le public s’en aperçoive. »!— (Antonin-Gilbert Sertillanges, La philosophie de Claude Bernard, 1944, page 41)
Certes, ils sont parvenus à «déblaguer» la médecine, comme Claude Bernard l’a noté un jour, ils l’ont tirée de l’ornière des spéculations vides et des systèmes ;— (Charles Lichtenthaeler, La Médecine hippocratique, 1948, page 28)
bref un plan Q ou n’importe quoi d’autre, nous sommes ouverts à ttes propositions (je déblague) nan sinon on a vraiment besoin d’amour nous faisons partie de la S.P.A (société protectrice de l’Amour)— (site ptiarno.skyrock.com, 14 janvier 2007 (texte originzl : bref un plan Q ou n'importe quoi dautre nous sommes ouverts a ttes propositions (je déblague) nan sinon on a vraiment besoin d amour nous faisons parti de la S.P.A (société protectrice de l'Amour))