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douze grandes fêtes \duz ɡʁɑ̃d fɛt\ |
douze grandes fêtes \duz ɡʁɑ̃d fɛt\ féminin pluriel
no 5 Les fêtes et intermèdes philodéoniques ; les douze grandes fêtes créant au bien, au beau et au vrai une France olympique; et les intermèdes philodéoniques propageant par l'attrait des arts les idées de devoir et de bienveillance mutuelle, .— (Revue anecdotique des lettres et des arts, 3e année - vol. 4 - no 5, du 1er au 16 mars 1857, page 102)
Il commença par résumer l’Évangile en douze scènes, conformément à une pratique orientale alors assez récente. C'est ce qu'on appelait à Constantinople : « les douze grandes fêtes » ; car, en Orient, l'art religieux était devenu peu à peu une des formes de la liturgie. En 1070, le choix des douze grandes fêtes n'était pas encore définitivement arrêté.— (Émile Mâle, Rome et ses vieilles églises, Éditions Flammarion, 1965, chapitre 8, paragraphe 2)
Parmi les douze grandes Fêtes de l’Église orthodoxe, quatre lui sont consacrées (sa Nativité, sa Présentation au Temple, l’Annonciation et sa Dormition), dont la première et la dernière des douze. Pareil symbolisme s'avère du plus haut intérêt.— (Michel Quenot, La mère de Dieu : Joyau terrestre, icône de l'humanité nouvelle, Éditions Saint-Augustin, 2006, page 25)