Invariable |
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en train \ɑ̃ tʁɛ̃\ |
en train \ɑ̃ tʁɛ̃\ invariable
Quoiqu’elle ne manquât ni de sens ni de perspicacité, les idées religieuses et son ignorance ayant enveloppé ses qualités dans un cercle d’airain, elles ne s’exercèrent que dans les choses les plus vulgaires de la vie ; puis, disséminées sur peu de points, elles se portaient tout entières sur l’affaire en train.— (Honoré de Balzac, Les Employés, édition définitive)
Vous n’avez rien de pressé en train, je pense ?— (Hector Malot, En famille, 1893)
Grandeur de l’homme de lettres ! On a beau être un fils, on a beau retrouver sa mère après vingt ans de séparation, du moment qu’on a un livre en train, cela passe avant tout.— (Paul Léautaud, Le Petit Ami, 1903, réédition Le Livre de Poche, 1964, page 142)
Les uns, presque achevés, étaient enduits de goudron, d’autres à peine en train montraient leur quille longue, le squelette de leur membrure.— (Émile Moselly, Terres lorraines, 1907)
J'ai une grosse commande en train avec la compagnie du gaz, 10.000 kilomètres de tuyauterie— (Blaise Cendrars, Bourlinguer, Denoël 1948, page 44)
— C’est vraiment inconcevable ! dit-il en lui-même tout troublé ; Jacintha, je ne me sens pas en train ; nous ne ferons plus rien aujourd’hui.— (Théophile Gautier, Onuphrius, 1832)
Je ne peux pas… je ne suis pas en train… Ma main tremble…— (Octave Mirbeau, Le Journal d'une femme de chambre, Éditions du Boucher, Société Octave Mirbeau 2003, page 147)
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