Singulier | Pluriel |
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goye | goyes |
\ɡɔj\ |
goye \ɡɔj\ masculin
il me répondit en souriant : quelqu’un de très pratiquant a, dans ce cas, recours à l’obligeance d’un goye.— (A. Drieu, Pierres à chauffer, société Préhistorique Française, tome 42, 1945, page 99)
Singulier | Pluriel |
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goye | goyes |
\ɡɔj\ |
goye \ɡɔj\ féminin
A ce stade, le lecteur trouve que l’auteur en prend à son aise, et que son "étrangère" ne répond pas à l’idée qu’il se fait de la "goye", dont les mères juives craignent qu’elle ne séduise leur fils.— (Michel Louis Lévy, Les non-juifs existent-ils ?, qu'est-ce qu'un goy)
«Chez les Juifs de Provence, goye s’appliquait à la servante chrétienne, et a donné en français provençal "goujat", et aussi "gouine", femme dont on conviendra qu’il vaut mieux ne pas l’épouser.» — (Michel Louis Lévy, Les non-juifs existent-ils ?, qu'est-ce qu'un goy)
— (Georges Delesalle, Dictionnaire Argot-Français & Français-Argot, à Paris, chez Paul Ollendorf, 1896, page 142)
goye *\Prononciation ?\ féminin