Singulier | Pluriel |
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horoscope | horoscopes |
(h muet)\ɔ.ʁɔs.kɔp\ |
horoscope (h muet)\ɔ.ʁɔs.kɔp\ masculin
Lettré, théologien, juriste et philosophe, il est le type parfait, très rare aujourd'hui, du savant arabe : véritable encyclopédie vivante de la science d'il y a un demi-millénaire. Il croit fermement aux horoscopes, à l’influence des planètes et des constellations, des « douze maisons » du soleil, à la pierre philosophale et à la possibilité de transformer les métaux vils en métaux précieux.— (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 122)
Les astrologues n'ont jamais fourni d'explication satisfaisante à la question suivante : pourquoi les astéroïdes et les satellites ne sont-ils pas pris en compte dans l'élaboration d'un horoscope ? Les réponses que l'on entend habituellement relèvent davantage de l’hyperbole que de la logique.— (Barry Williams (traduit par Claude Lafleur), L’astrologie confrontée aux progrès de l’astronomie, dans Le Québec sceptique, n° 24, décembre 1992, page 41)
Cet acte de logique et de fidélité fit mentir l'horoscope que jadis tirait son beau-père en disant de son gendre qu'il resterait colonel.— (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
L'officier lui prédit un avenir glorieux, et la mère de Méhul conserva toute sa vie le souvenir de cet horoscope.— (Castil-Blaze, Étienne Nicolas Méhul, dans la Revue de Paris, 1834, volume 1, page 22)
Si on lui racontait que tu as pris cela pour un ordre ou pour un horoscope, elle dirait que tu es un grand benêt, et que tu peux être jardinier toute la vie, que cela lui est égal.— (Alfred de Vigny, Servitude et grandeur militaires, 1835)
horoscope \Prononciation ?\