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(1881) De l’allemand Krach, déverbal de krachen (« craquer »), signifiant au propre « craquement » et par extension « effondrement des cours de la Bourse ». Ce dernier sens s’est développé en allemand à partir de l’anglais crash qui date de 1817. Il apparaît isolément en allemand en 1857 et se répand à la suite de l’effondrement financier de la Bourse de Vienne, le 9 mai 1873.
Elle ne devint catastrophe que dans sa troisième phase, quand soudain, au milieu d'un ciel serein, la foudre du krach bancaire de New-York frappa l’édifice orgueilleux de la prospérité du capital américain.— (Carl Steuermann, La crise mondiale, traduit de l’allemand, Gallimard, 1932, page 65)
Il y a en Amérique, comme en tout pays, un chômage endémique et même avant la crise, on comptait environ deux millions de chômeurs. Mais quand, avec la baisse des prix, le manque de confiance, le krach de Wall Street, les gens cessèrent d’acheter, ce chômage augmenta en progression géométrique.— (André Maurois, Chantiers américains, 1933)
Dieu merci, en novembre, le krach de Wall Street devait les rassurer : il l’accueillirent comme la nouvelle d'une victoire.— (Paul Nizan, La Conspiration, 1938, page 54)
L’AMF et la police de Laval enquêtent actuellement sur le nébuleux krach de la non moins nébuleuse cryptomonnaie québécoise MRS.— (Michel Girard, Au Far West de la cryptomonnaie, Le Journal de Québec, 2021)
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →