Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot lignage. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot lignage, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire lignage au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot lignage est ici. La définition du mot lignage vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition delignage, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Dans le même souci de protection du lignage, le père pouvait cependant, s'il se méfiait de ses enfants, les obliger à conserver le patrimoine pour leurs propres enfants : c'est la substitution si répandue dans notre ancien régime.— (Gabriel Lepointe, La Famille dans l'Ancien droit, Montchrestien, 1947 ; 5e édition, 1956, page 205)
Ces gens de lignage que déconsidéreraient le commerce ou la banque sont, ou, ce qui compte davantage, se veulent exclusivement propriétaires terriens, gens de guerre et gens d’Église.— (Marguerite Yourcenar, Souvenirs pieux, 1974, collection Folio, page 79)
Mais si les membres du « lignage » sont le plus souvent apparentés (ce qui n’est pas systématique, ni d’ailleurs nécessairement affirmé), cela ne fait pas pour autant du « lignage » une forme proprement parentale, car sa logique de configuration est seigneuriale.— (Joseph Morsel avec la collaboration de Christine Ducourtieux, L’Histoire (du Moyen Âge) est un sport de combat…, 2007)
Quant aux fils des sœurs de ma mère, ils sont les fils d'hommes qui ont pris femme dans le lignage de ma mère. Autrement dit la terminologie ne distingue pas les agnats de ceux qui prennent femme dans les mêmes lignages qu'eux.— (Anne de Sales, Je suis né de vos jeux de tambours : La religion chamanique des Magar du nord, Laboratoire d'ethnologie et de sociologie comparative, Nanterre, 1991, page 61)
Mais tout cela ne renseigne point sur le lignage du Gothique qui demeure obscur, peut-être parce qu’il est très clair.— (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale, Plon-Nourrit, 1915)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage