Singulier | Pluriel |
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limerick | limericks |
\li.mə.ʁik\ ou \lim.ʁik\ |
limerick \li.mə.ʁik\ ou \lim.ʁik\ masculin
Le limerick fait partie de la littérature à contraintes, chère à l’Oulipo, dont les chevilles ouvrières furent Georges Perec et Raymond Queneau... qui en furent également les maîtres.— (Laurent Cassagnau, Jacques Lajarrige, Pérennité des formes poétiques codifiées, 2000)
Remarquez, je comprends très bien l’utilisation des termes grossiers ou vulgaires, ils ont leur prix, leur poids, leur efficacité. Pourquoi pas les paroles qu’on a mises sur les sonneries de clairon, pourquoi pas les chansons de salles de garde, pourquoi pas les limericks aussi, qui sont si drôles et si grossiers ?— (Régine Desforges, O m’a dit. Entretiens avec Pauline Réage, 1975, page 35)
Ce que j’aimais c’était les récitatifs, les airs rudimentaires, comme on en trouve quand des accordéons celtes accompagnent les limericks, ces haïkus irlandais, avec l’humour en plus, ou bien des bandonéons dans les shea shanties, ces complaintes de marins anglais.— (David McNeil, 28 boulevard des Capucines, Gallimard, 2012, collection Folio, page 130)
Singulier | Pluriel |
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limerick \ˈlɪ.mə.rɪk\ |
limericks \ˈlɪ.mə.rɪks\ |
limerick \ˈlɪ.mə.rɪk\