Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
michelangelesque | michelangelesques |
\mi.kɛ.lɑ̃.ʒə.lɛsk\ |
michelangelesque \mi.kɛ.lɑ̃.ʒə.lɛsk\ masculin et féminin identiques
Naît alors, nourri d’un voyage en Italie de 8 ans (1770-1778), une œuvre singulière : peintures mythologiques, sujets shakespeariens, représentations de songes, avec une esthétique nouvelle, qui tend vers le fantastique, des anatomies michelangelesques, une énergie, un mouvement et un souffle hors du commun.— (Le Journal de Saint-Cloud, septembre/octobre 2022, édition Le Petit Versaillais, page 12)
Avec son David, Le Bernin, âgé d’à peine vingt-cinq ans, se mesure avec l’icône insurpassable de la Renaissance italienne, le David de Michel-Ange, l’un comme l’autre symbolisent à la perfection l’art de leur temps : autant l’œuvre michelangelesque est posée, digne, racée, élégante, autant Le Bernin parvient, en représentant David sur le point de lancer son projectile à l’aide de sa fronde, le torse tourné, le visage grimaçant d’effort, à réunir tous les éléments de l’art baroque : l’énergie, le mouvement, le dynamisme.— (Wikipédia, « Gian Lorenzo Bernini »)