monomaque

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot monomaque. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot monomaque, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire monomaque au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot monomaque est ici. La définition du mot monomaque vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition demonomaque, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Voir aussi : Monomaque

Étymologie

(Date à préciser) Du grec ancien μονομάχος, monomákhos (« qui se bat seul », « gladiateur »).

Nom commun

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
monomaque monomaques
\mɔ.nɔ.mak\

monomaque \mɔ.nɔ.mak\ masculin et féminin identiques

  1. Celui, celle qui se bat seul, ou qui aime à se battre en combat singulier.
    • Isabelle et toi n’avez donc rien d’intéressant à vous dire qu’il vous faille rester silencieux, à boire des ressassements, devant un monomaque puéril ? — (Michel Versant, La double vie d’Isabelle de Lange, 1993)
    • Ignace de Born, et d’après lui Broussonet, avancent que chez les Carmes-Déchaussés, les vieilles robes étaient découpées en morceaux, déposés dans les lieux communs, pour l’usage qu’on devine, et que les novices étaient chargés de les blanchir, afin qu’ils pussent servir de nouveau. J’ose à peine ajouter foi à cette assertion, parce qu’il n’est fait aucune mention de cette dernière circonstance dans les écrivains monastiques, et que d’ailleurs Ignace de Born et Broussonnet sont connus pour deux anti-moines, deux monomaques. — (Charles Chabot, Encyclopédie monastique, Édouard Le Roy, Libraire, Paris, 1827)
  2. (Antiquité) Gladiateur, dans un contexte grec.
    • Il ]] a dû, suivant M. Peyrilhe, renoncer au traitement des monomaques blessés, au printemps de l’an 159, si la nomination du pontife se faisoit deux fois l’année. — (Encyclopédie méthodique : Médecine, tome sixième, Panckoucke, Imprimeur-Libraire, Paris, 1793)

Apparentés étymologiques

Traductions

Références