Invariable |
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mordieu \mɔʁ.djø\ |
mordieu ! \mɔʁ.djø\ invariable
Quoique les Bestein soient étrangers et Lorrains, mordieu ! une poignée de main de Henry IV nous a conquis pour toujours.— (Alfred de Vigny, Cinq-Mars, Michel Lévy frères, 1863)
Il va croire que je me dérobe ! Mordieu ! Cogolin, ma rapière, mon cheval !— (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
On vient de me voler, de me voler des papiers auxquels je tiens plus qu’à la vie... Mais, mordieu, je les rattraperai.— (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas, La Guêpe rouge, 1912, Éditions Robert Laffont, collection Bouquins, tome 5, page 689)
— Halte ! commanda Godefroy. Halte ! Je veux la sauver. Arrête, mordieu !…— (Maurice Leblanc, La Comtesse de Cagliostro, 1924)
— Ralentis, mordieu, ralentis, cria Placide désespéré. Je me suis fait une bosse au front !— (Paul Morand, L’Homme pressé, 1941)
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