Singulier | Pluriel | |
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Masculin | mort-né \mɔʁ.ne\
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mort-nés \mɔʁ.ne\ |
Féminin | mort-née \mɔʁ.ne\ |
mort-nées \mɔʁ.ne\ |
mort-né \mɔʁ.ne\
À ma sœur, on avait donné le prénom d’une aînée mort-née, qui portait déjà celui d’une tante défunte.— (Muriel Barbery, L’élégance du hérisson, 2006, collection Folio, page 358)
On connaît ses fringues extravagantes, la veste en lézard et le costume de 2 000 dollars en poulain mort-né, qu’il jeta un jour dans la poubelle d’un aéroport, son chapeau orné d’une superbe tête de mort, tibias croisés.— (Jean-Paul Bourre, Sexe, sang et rock’n’roll, Camion noir, 2009, chapitre 10)
Un ouvrage, poème, une tragédie mort-née.
La lutte antijuive, esquissée vers 1881 avec la création de deux journaux morts-nés l’Antijuif et l’Antisémite de Montdidier, ne devint vraiment sérieuse qu’en 1883, avec la fondation, par les Assomptionnistes, du journal La Croix.— (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Singulier | Pluriel |
---|---|
mort-né | mort-nés |
\mɔʁ.ne\ |
mort-né \mɔʁ.ne\ masculin (pour une femme, on dit : mort-née)
Un mort-né.
Les maladies qui ont des répercussions sur le fœtus en fin de gestation peuvent occasionner la naissance de mort-nés ou de nouveau-nés vivants mais faibles.— (1=Archie Hunter, Gerrit Uilenberg, Christian Meyer et al., Santé animale, volume 1. Généralités, collection Agricultures tropicales en poche, Cirad/CTA/Karthala/MacMillan, 2006, page 120)
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