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(1787) Du grec ancien ὀξύς, oxús (« aigu, piquant ») et -ide. Louis-Bernard Guyton-Morveau, dans la Nomenclature chimique, explique : « Nous avons formé le mot oxide qui d’une part rappelle la substance avec laquelle le métal est uni, qui d’autre part annonce suffisamment que cette combinaison de l’oxigène ne doit pas être confondue avec la combinaison acide ». En 1801, la graphie oxyde est adoptée.
L'un et l'autre sont des combinaisons de l'acide muriatique concentré avec l’oxide d'arsenic.— (Dictionnaire de chimie, par Mrs M. H. Klaproth & F. Wolff, traduit de l'allemand par E. J. B. Bouillon-Lagrange & H. A. Vogel, Paris : chez Klostermann, 1811, volume 3 (I-P), page 178)
Ce calcaire offre des pores tubulés, nombreux , souvent enduits d’oxide de fer.— (Annuaire des cinq départements de la Normandie, volume 2, publié par l'Association normande, Caen : chez A. Le Roy, 1835, page 64)
L’oxide puce de plomb, si par un choc vif on pouvait le dédissoudre, serait ramené à l’état d’oxide rouge sous la gazification de son oxigène dissolvant, et sous développement de lumière et de chaleur ; et l’oxide pourpre de mercure serait dans ce cas réduit sans que la température fût changée et comme l’est l’argent dissout par de l’oxigène, que Ritter a obtenu crystallisé.— (Huphry Davy, Elémens de philosophie chimique, volume 1, traduction de J. B. Van Mons, 1813, page 338)
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →