par excellence \pa.ʁ‿ɛk.sɛ.lɑ̃s\ invariable
Quant aux Russes, généralement sobres, l’infusion de thé leur suffit, paraît-il, non sans une certaine addition de « vodka », qui est l’eau-de-vie moscovite par excellence.— (Jules Verne, Claudius Bombarnac, chapitre I, J. Hetzel et Cie, Paris, 1892)
Au cœur de cette ville si complaisamment assise dans sa richesse, et dont elle était par excellence l’Étrangère, ces longues entrevues m’entraînaient dans une dérive sourde et dissolvante.— (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
Pour le monde développé , le XIXe siècle est le siècle par excellence de l’urbanisation. Pour l'Europe (sans la Russie), le nombre de citadins (critère des 2 mille habitants) passe de 31 millions en 1800 à 170 millions en 1910.— (Paul Bairoch, « Croissance démographique et urbanisation : une perspective historique et internationale », dans Croissance démographique et urbanisation : politique de peuplement et aménagement du territoire : séminaire international de Rabat (15-17 mai 1990), Association internationale des démographes de langue française, Presses universitaires de France, 1993, page 9)
par excellence \pɑɹ ˌɛk.sə.ˈlɑns\ ou \pɑɹ ˈɛk.sə.ˌlæns\