pensant

Du participe présent de penser.

pensant \pɑ̃.sɑ̃\

1. Qui pense, qui est capable de penser.
   • Nous considérons alors que les relations intersubjectives sont indispensables au retour dans la vie du sujet « chosifié » par le traumatisme, et que c’est par la restauration des liens interpersonnels que celui-ci retrouvera sa place au sein de la communauté des êtres vivants en étant repositionné comme être parlant et pensant. — (Vicky Vanborre, « Les ressources relationnelles, un moteur de vie », partie « La réhumanisation de l’individu psychotraumatisé », dans Rhizomes, n^o 69-70 « Soigner le traumatisme ? », Presses de Rhizome, Bron (Rhône), 2018/3-4, pages 30-31)
   • La faculté pensante.

• bien pensant (qualifie celui qui a de bonnes opinions) (terme actuellement souvent péjoratif)
• mal pensant (qualifie celui qui a de mauvaises opinions)
• roseau pensant

pensant \pɑ̃.sɑ̃\

1. Participe présent de penser.
   • Voilà ce que disaient les juifs à Babylone en pensant à la montagne de Sion, voilà comment vous êtes chérie et désirée par tous vos amis de Rome qui ne sera débabylonisée que lorsque vous y viendrez. — (Œuvres inédites de Xavier de Maistre, 1877, page 150)

• La prononciation \pɑ̃.sɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \sɑ̃\.
• France (Brétigny-sur-Orge) : écouter « pensant  »
• France (Vosges) : écouter « pensant  »
• France (Cesseras) : écouter « pensant  »

→ Modifier la liste d’anagrammes

• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (pensant), mais l’article a pu être modifié depuis.

pensant \Prononciation ?\

1. Participe présent du verbe pensar.