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Et de faict, à l’inſtigation de Pape Damaſus, il compartit le Pſautier en ſept, ſelon le nombre des ſept iours de la ſemaine, aſſignant à chaſque iour certain nombre de Pſeaumes qu’on peuſt chanter.— (Antoine du Pinet, La conformité des églises réformées de France et de l’Église primitive, en police et cérémonies, prouvée par l’Escriture, conciles et canons anciens, 1564, pages 126-127 → lire en ligne)
Et de fait, à l’instigation du pape Damase Ier, il compartit le Psautier en sept, selon le nombre des sept jours de la semaine, assignant à chaque jour un certain nombre de psaumes qu’on peut chanter.
D’abord, un vieux psautier, infiniment petit entre ses fermoirs d’argent, comme un livre de poupée, et qui avait dû être une merveille typographique à son époque.— (Pierre Loti, Le Roman d'un enfant, 1890)
Trente moines, épluchant feuillet par feuillet des psautiers aussi crasseux que leurs barbes, louaient Dieu et chantaient pouilles au diable.— (Aloysius Bertrand, Gaspard de la nuit, 1842)
A certain voile aux Nones familier, Nommé pour lors entre-elles leur Psautier.— (Jean de la Fontaine, Le Psautier, dans Œuvres complètes de La Fontaine de Charles Marty-Laveaux, tome 2, P. Jannet, 1857, page 267)
La solennité que confère à ses gestes l’ampleur de ses manches, le silence où s’entrechoquent les grains du psautier ballotant sur sa robe, la tension du potentiel ambiant, tout contribue à donner à cette cérémonie la gravité d’un sacre.— (Marie-Flore Oger, Bout de chique, Éditions Dricot, Liège, 1983, page 20)
↑Frédéric Godefroy, Complément du dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du ixe au xve siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1895-1902, entrée « psaltier » → consulter cet ouvrage