reiñ bronn

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Étymologie

Composé de reiñ (« donner ») et de bronn (« sein »).

Locution verbale

reiñ bronn \rɛ.ĩ ˈbrɔ̃nː\ (se conjugue → voir la conjugaison de reiñ)

  1. Donner le sein.
    • Yannig a reas un talabao mar doa spont, o pediñ hag ocʼh aspediñ e vamm da vont da reiñ bronn dezhañ. — (Amable-Emmanuel Troude et Gabriel Milin, Labous ar Wirionez ha marvailhoù all, Skridoù Breizh, 1950, page 70)
      Yannig fit un tapage effrayant, en demandant à sa mère et en la suppliant de lui donner le sein.
    • War bep a gador e lakae ar re goshañ da azezañ en-dro dezhi, endra ma talcʼhe an hini bihanañ war he barlenn hag e roe bronn dezhañ hep mezh, e-kreiz an iliz, pa cʼhoarveze ganto gouelañ. — (Yeun ar Gow, Chomet e oa ar vazh e toull an nor, in Al Liamm, no 109, mars-avril 1965, page 85)
      Elle faisant s’asseoir les plus âgés chacun sur une chaise autour d’elle, tandis qu’elle tenait le plus petit sur ses genoux et lui donnait le sein sans pudeur, au milieu de l’église, quand il leur arrivaient de pleurer.
    • peurliesañ e vez awenet an arzourien afrikan gant an hevelep patromoù hag hor re (da sk. ar vamm o reiñ bronn d’he bugel). — (Loeiz Andouard, Diskouezadeg ar c'hizellerezh afrikan, in Al Liamm, no 157, mars-avril 1973, page 168)
      Généralement les artistes africains sont inspirés par les mêmes modèles que les nôtres (par ex. une mère donnant le sein à son enfant).
    • Ne oa ket grignous, tamm ebet met bewech ma teue e vamm da reiñ bronn dezhañ e veze dihun, sioul en e gavell, digor bras e zaoulagad gantañ. — (Reun ar Cʼhalan, An den na gouske morse, in Al Liamm, no 202, septembre-octobre 1980, page 49)
      Il n’était pas geignard, pas du tout, mais chaque fois que sa mère venait pour lui donner le sein il était réveillé, paisible dans son berceau, les yeux grand ouverts.

Dérivés