Singulier | Pluriel |
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running | runnings |
\ʁœ.niŋ\ |
running \ʁœ.niŋ\ masculin (Anglicisme)
Le running présente plusieurs aspects et intensités, du footing du dimanche matin aux trails, en passant par les courses « extrêmes ».— (Running : dans la foulée d'un phénomène social, Le Monde, 3 juillet 2017)
Le running, c’est la traduction moderne, américaine, jeune, bref marketing d’un sport, la course à pied.— (Nathalie Van Praagh, La romancière clermontoise Cécile Coulon signe un éloge du running, La Montagne, 12/03/2018)
Aujourd'hui, la tendance est au running « connecté ». Toujours plus nombreux, les coureurs partagent leurs performances en ligne, les wearables qui les accompagnent sont désormais légion tandis que des communautés de « runners » s'organisent sur les réseaux sociaux pour mieux se retrouver dans la vie réelle et partager leur passion.— (Running : dans la foulée d'un phénomène social, Le Monde, 3 juillet 2017)
Attention ! Rien à voir avec le footing ni le jogging. Le footing, c’est du petit trot pépère en survêt crasseux, cool Raoul, relax Max. Le jogging, une course du dimanche, un peu plus sportive que le footing, mais tout de même un truc d’amateur. Alors que le running, c’est un truc de pro. Les runners ne sont pas là pour rigoler. Mais pour performer.— (Alain Rémond, Run, run, run !, Journal La Croix, 21 avril 2015, page 24)
Les réseaux sociaux ont créé des communautés de running, il existe de plus en plus de clubs et les marques fédèrent les pratiquants autour de courses sponsorisées.— (Nathalie Van Praagh, La romancière clermontoise Cécile Coulon signe un éloge du running, La Montagne, 12/03/2018)
Le risque le plus important du running est celui du malaise cardiaque, voire de l’infarctus.— (Marc Payet, Le running, un sport qui fait plus de bien que de mal, Le Parisien, 9 avril 2018)
"L'ancienne génération, ça doit bien les faire marrer que le terme «course à pied» ait été remplacé par «running» ou «trail», pour des raisons purement marketing.— (Amandine Schmitt, Biblioobs - NouvelObs,"On est passé de la 'course à pied' au running pour des raisons marketing", 20 mai 2018)
Le running est perçu comme une vraie discipline que l'on pratique régulièrement en se fixant des objectifs: courir plus longtemps ou courir plus vite par exemple— (Sara Taleb,Comment le running a remplacé le bon vieux jogging,Huffington Post,4/10/2014)
Les pionniers du running ont été rejoints par toute une armée de suiveurs, qui courent par imitation, sans trop savoir pourquoi, et peut-être sans raison— (guillaume cuchet, Petite métaphysique sociale du running contemporain, Revue limite, 7 avril 2016)
Faut-il dire des running shoes, des espadrilles ou des tennis? Conformément à la définition de la diglossie, l’un de ces synonymes (ici, running shoes) ne s’utilise normalement pas à l’écrit.— (Jacques Maurais, LES QUÉBÉCOIS ET LA NORME L’ÉVALUATION PAR LES QUÉBÉCOIS DE LEURS USAGES LINGUISTIQUES, Office québécois de la langue française, 2008)
running \ʁœ.niŋ\ féminin (Anglicisme)
Au fil des années, les équipementiers ont développé leur service R&D (Recherche et Développement) pour améliorer chaque élément de leurs chaussures. Tests sur les matériels, analyses biomécaniques et diverses expériences ont fait évoluer la running. Amortis, confort, poids, supination (appui du pied sur l'extérieur), pronation (appui sur l'intérieur) sont devenus des arguments de vente majeurs. Entrer aujourd'hui dans un magasin spécialisé ou parcourir le rayon running d'une grande enseigne peut laisser perplexe devant l'embarras du choix.— (Peggy Bergère,Running : les chaussures font-elles courir plus vite ?,Futura Sciences, date inconnue)
La "running shoes" comme on l'appelle, a d'abord fait ses premiers pas sur les podiums des défilés avant de se retrouver dans les magazines féminins et sur les blogs spécialisés puis dans la rue.— (Sara Taleb,Comment le running a remplacé le bon vieux jogging,Huffington Post,4/10/2014)
Singulier | Pluriel |
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running \ˈɹʌn.ɪŋ\ |
runnings \ˈɹʌn.ɪŋz\ |
running \ˈɹʌn.ɪŋ\
running \ˈɹʌn.ɪŋ\
There was on one side Germany, with its silver monometallism, having to make up its bank reserves only with silver ; and on the other England, with its bi-monometallism, at one time dependent for its reserves on the gold that might come in, at another time running over the Continent to purchase silver for transmission to India.— (Guilford Lindsey Molesworth, Silver and Gold: The Money of the World, 1891, page 70)