sage-homme \sa.ʒɔm\ masculin (pour une femme, on dit : sage-femme)
Le conseil de la Haute école spécialisée bernoise propose que l’admission à l’année d’études 2011/12 soit limitée pour les filières de bachelor suivantes : Physiothérapie, Sage-femme et sage-homme, Soins infirmiers ainsi que Nutrition et diététique.— (Haute école spécialisée bernoise: Département Gestion et administration, santé, travail social, année d’études 2011/12, Restrictions d’admission pour les filières de bachelor Physiothérapie, Sage-femme et sage-homme, Soins infirmiers ainsi que Nutrition et diététique, Séance du Conseil-exécutif du 9 mars 2011)
L’objectif est d’une part d’ouvrir l’accès à tous les métiers tant aux garçons qu’aux filles (sage-homme ou éducateur de la petite enfance, policière ou médiamaticienne etc.).— (République et canton de Neuchâtel, Office de la politique familiale et de l’égalité, Social et santé – Famille et égalité – Formation, <ne.ch>, 17 octobre 2011)
La mise en place d’un système d’hospitalisation à domicile s’accompagne, pour le plus grand plaisir des futures mamans, de l’arrivée d’Atlas, un charmant sage-homme.— (« À la découverte de l’homme sage-femme », LaDépêche.fr, 21 février 2001)
Au cours de sa fructueuse carrière de « sage-homme » reconnu, il effectue quelque 200 accouchements.— (« Comeau, Napoléon-Alexandre (baptisé Alexandre-Napoléon) », Dictionnaire biographique du Canada en ligne, <biographi.ca>, 2000)
La grande originalité du lieu, qu’il aime à souligner, tient en fait à la présence d’un «sage-homme», appelé maïeuticien par l’administration, qui s’est toujours contentée de «sage-femme» pour ses homologues féminins.— (« Maternité - René-Charles Rudigoz: le professeur et son “sage-homme” », L’Express.fr, 16 novembre 1995)