Singulier | Pluriel |
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sérénité | sérénités |
\se.ʁe.ni.te\ |
sérénité \se.ʁe.ni.te\ féminin
La sérénité de l’air, du temps, du ciel.
Brusquement, il poussa une porte, entra, et vit Giselle debout, si calme, une telle sérénité dans ses yeux, où il n'y avait ni crainte, ni défi, ni pas même du dédain, qu'il s'arrêta, pâle comme un mort.— (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
Il siégeait, au fond, sur une banquette, et fumait un cigare. Une indéniable sérénité se reflétait sur ses traits. Peut-être était-ce l’apaisante influence du cigare— (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai, Les Éditions de France, Paris, 1927)
L’archéologie et l’anthropologie locales sont coutumières, on le sait, d’une grande sérénité dans l’affirmation. Ledit Poignant ne s’en est pas tenu là : à une portée de fusil du tombeau de Merlin, l’« archidruide », il a retrouvé le tombeau de « son épouse » Viviane !— (Charles Le Goffic, Brocéliande, avec la collaboration de Auguste Dupouy, La Renaissance du Livre, 1932, p. 95)
Rien ne trouble la sérénité de ses jours, rien ne trouble le calme dont il jouit.
On traitait le doge de Venise, le doge de gênes de Sérénité.
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