Singulier | Pluriel |
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torero | toreros |
\to.ʁe.ʁo\ |
torero \to.ʁe.ʁo\ masculin (orthographe traditionnelle) (pour une femme, on dit : torera)
On n’emploie guère en Espagne le mot matador pour désigner celui qui tue le taureau, on l’appelle espada (épée), ce qui est plus noble et a plus de caractère ; l’on ne dit pas non plus toreador, mais bien torero. Je donne, en passant, cet utile renseignement à ceux qui font de la couleur locale dans les romances et dans les opéras-comiques.— (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
Il n’est jusqu’à la coleta, petit chignon (aujourd’hui postiche) que les toreros portent comme signe de leur profession, qui ne rappelle la tonsure des prêtres.— (Michel Leiris, L’âge d’homme, 1939, réédition Folio, page 71)
un équivalent de ce qu’est pour le torero la corne acérée du taureau, qui seule – en raison de la menace matérielle qu’elle recèle – confère une réalité humaine à son art, l’empêche d’être autre chose que grâces vaines de ballerine.— (Michel Leiris, De la littérature considérée comme une tauromachie, 1945-1946 (préface de L’âge d’homme, 1939), réédition Folio, page 10)
Peu de toreros savent manier la cape : ces premières passes furent désastreuses.— (Philippe Sollers, Une curieuse solitude, Seuil, 1958, réédition Le Livre de Poche, page 49)
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Singulier | Pluriel |
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torero | toreros |
\toˈɾe.ɾo\ |
torero \toˈɾe.ɾo\ masculin (pour une femme, on dit : torera)
Singulier | Pluriel |
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torero \to.ˈrɛ.ro\ |
toreri \to.ˈrɛ.ri\ |
torero \to.ˈrɛ.ro\ masculin (pour une femme, on dit : torera)
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