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(Habillement)Coiffure d’homme usitée chez les Orientaux et faite d’une longue bande d’étoffe, qui est roulée et entrelacée autour de la tête.
Ces deux écuyers étaient suivis de deux autres serviteurs dont les visages bronzés, les turbans blancs et la forme des vêtements dénonçaient l’origine orientale.— (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
Une foule serrée et bruyante grouillait dans les rues. Ce n’était que tarbouches, galabiehs turbans et majestueuses robes des cheikhs.— (Out-el-Kouloub, « Zariffa », dans Trois Contes de l’Amour et de la Mort, 1940)
(Par extension) Coiffure de femme de forme semblable.
Quand cette image de la mort en turban crasseux, en casaquin sinistre, regarda les grains de millet que la poule noire piquait, et appela son crapaud Astaroth pour qu’il se promenât sur les cartes étalées, Mme Cibot eut froid dans le dos, elle tressaillit.— (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847)
La mode était aux chapeaux cloches, aux petits marquis fort seyants, aux turbans ornés parfois d’un chou de ruban.— (Édouard Bled, Mes écoles, Robert Laffont, 1977, page 250)
(Par métonymie) Personnage qui porte cette coiffure.
La fauconnerie est donc un sport assez coûteux et, la majorité des gros turbans marocains étant trop indolents pour chasser, elle tend à disparaître.— (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue, Paris : Ernest Leroux, 1904, page 129)