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Étymologie
De velouter avec le suffixe -age qui indique une action.
Machine destinée au rasage et au veloutage des chapeaux.Veloutage sur un gâteau. (sens 4)Veloutage au cacao sur un gâteau. (sens 5)
Opération qui consiste à donner un aspect velouté à quelque chose.
Il ne reste plus alors qu'à modifier l'aspect extérieur du chapeau : coupage des bords et de l'intérieur, ponçage général, veloutage ou rasage.— (Pierre Pinton , histoires du sud, éd. Publibook, 2016)
(Travail du cuir) Opération qui consiste à pratiquer un ponçage ou un meulage très modéré sur les peaux (coté fleur ou coté croute) pour leur donner un aspect velouté (cuir velours, nubuck, daim, suède, etc.).
Brevet d'invention de 15 ans dont la demande a été déposée le 3 Mai 1862 au secrétariat de la préfecture de la Seine, par le sieur Digeon (Louis-Marcel), teinturier en peaux, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg, n ° 23, pour un procédé de bronzage et de veloutage des cuirs et peaux tannées, corroyées, mégissées, etc.— (Bulletin des lois de la République française, volume 23, éd. Imprimerie nationale, 1864)
(Papeterie) Opération qui consiste à donner un aspect velouté au papier, parfois en incluant ou en collant sur une des faces des fibres broyées (coton, laine, etc.).
Parmi les papiers de luxe, je citerai notamment les papiers veloutés, les papiers gaufrés. Le veloutage s'obtient en fixant , par des mouvements de trépidation, de la tontisse de laine sur une couche d'huile cuite.— (Alfred Picard, Le bilan d'un siècle, 1801-1900, tome 4, éd. Imprimerie nationale, 1906)
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