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(XIXe siècle) Composé de chou et de colossal. En 1836, M. Fullard, un parfumeur londonien, eut l’idée de vendre à prix d’or des graines d’un chou commun, le chou cavalier, sous le nom de Waterloo Caesarean cow cabbage, avec la promesse d’obtenir des plants géants propres à nourrir le bétail. L’escroquerie, révélée au public la même année, fut répétée par un bonnetier parisien du nom d’Obry qui parvint à vendre, de 1836 à 1837, plusieurs centaines de milliers de graines, cette fois sous le nom de chou colossal, par le biais de nombreuses publicités dans les journaux.
Le chou dont on vantait, il y a quelques années, la hauteur, sous le nom de chou-arbre de Laponie, et celui dont les journaux ont annoncé la récente introduction en France sous le titre de chou colossal toujours vert de la Nouvelle-Zélande, ne sont vraisemblablement que des variations de taille de notre cavalier commun obtenues par des soins particuliers.— (P. Leroux et J. Reynaud, Encyclopédie nouvelle : Dictionnaire philosophique, scientifique, littéraire et industriel, tome 3, Librairie de Charles Gosselin, librairie de Furne et Cie, Paris, 1840, page 552)
Les vainqueurs du pennon royal Pensaient tenir la république On leur a prouvé sans réplique Qu’ils rêvaient un chou colossal. Sur moi-même enfin si j’arrête Un regard sévère, je vois Que j’ai bien aussi quelquefois Mon chou colossal dans la tête !— (Édouard Servan de Sugny, Gerbe littéraire, Librarie de Ch. Schwartz et Al. Gagnot, Paris, 1842, page 105)