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À mesure que les ovules quittent le ventre de la femelle, ils sont fécondés par le mâle. La semence s’échappe par l’orifice anal.— (Jean Rostand, La vie des crapauds, 1933)
(Die Libido), meint (Freud), entwickelt sich zunächst bei den Geschlechtern auf die gleiche Weise: alle Kinder machen eine orale Phase durch, die sie auf die Mutterbrust fixiert, dann eine anale Phase, und schließlich erreichen sie die genitale Phase. An diesem Punkt differenzieren sie sich.— (Simone de Beauvoir, traduit par Uli Aumüller et Grete Osterwald, Das andere Geschlecht, Rowohlt Verlag, 1992)
Celle-ci se développe d’abord, pense-t-il, d’une manière identique dans les deux sexes : tous les enfants traversent une phase orale qui les fixe sur le sein maternel, puis une phase anale et enfin ils atteignent la phase génitale ; c’est à ce moment qu’ils se différencient.
Apparenté au cornique anal, au gallois anadl, l’irlandais anáil, au gaélique écossais anaíl, qui tous proviennent d’un proto-celtique *ana-tlā, dérivé de la racine en indo-européen commun *ANÄ (sanskrit ani-ti « il respire », etc.). Voir sous anaon.[1]
setu me a-hed va cʼhein e-kreiz an ercʼh, warnon korf pounner ar grizzly; e skilfoù lemm o sankañ e kig va divskoaz hag e anal flaerius ouzh va mougañ.— (Thomas Mayne-Reid, Un emgann e menezioù Amerika, in Al Liamm, no 11, novembre-décembre 1948, page 28)
me voici sur le dos, au milieu de la neige, le corps écrasant du grizzly sur moi ; ses griffes acérées s’enfonçant dans la chair de mes épaules et son haleine fétide m’étouffant.
Ar breur Arturo a selle ouzh he brennid o sevel hag o tiskenn, hervez anal ar vaouez.— (Youenn Drezen, Sizhun ar breur Arturo, Éditions Al Liamm, 1971, page 31)
Le frère Arturo regardait sa poitrine monter et descendre, au rythme de la respiration de la femme.
Dercʼhel a reas ar gomisien war o anal.— (James Joyce, An digoll (Counterparts) (1914), traduit par Per Denez, in Al Liamm, no 25, mars–avril 1951, page 26)