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C’est donc à tort qu’on appelle tous les habitans du paradis des anges. Voyez, voyez, il y a aussi des angesses ou angelines. O belle angeline ! bénissez-moi et sauvez mon ame !— (Henri de Latouche, « Benvenuto Cellini », dans Revue de Paris, 1832, page 161 )
(Sens figuré)Qu’il soit donc le seul coupable, si jamais sur la surface du globe, on rencontre un frère disant à sa sœur : tu es une angesse ! ou un peuple à sa reine : Siresse !— (Gabriel Henry Aubertin, Grammaire moderne des écrivains français, A. Lacroix, Verboeckhoven & Cie, Bruxelles, 1861, 2e édition, page 4)
Il goûte le charme sentimental avec ces mêmes élus dont chacun se trouve intéressé à raffiner de courtoisie pour égaler l’ange titulaire en délicatesse et se faire distinguer de l’ange ou l’angesse qu’il considère comme futur monarque et personnage éminent.— (Charles Fourier, Le nouveau monde amoureux, 1816, collection Œuvres complètes de Charles Fourier, tome 1, Éditions Anthropos, 1966, p. 92)
Le Dieu cuisinier fut interrogé sur l’idylle de Goudébile avec une angesse. Lilith fut aussi appelée à la barre et fournit des détails croustillants sur leurs relations.— (Michel Rozenblum, SOS Dieu, Éditions Publibook, 2008, page 242)
Notes
Louis-Nicolas Bescherelle, dans sa Grammaire nationale, 14e édition, Paris : chez Garnier frères, 1871, p. 47, indique : « Pour ce qui est du mot angesse, nous ne pensons pas qu’il puisse être admis, si ce n’est en plaisantant ; on doit dire une ange. »
↑Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage