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A través de la lluvia veo por la ventana que una carreta se ha empantanado en medio de la calle. Un campesino, con manta de castilla negra, hostiga a los bueyes que no pueden más entre la lluvia y el barro.— (Pablo Neruda, traduit par Claude Couffon, Confieso que he vivido, Editorial Seix Barral, 1974)
A travers la pluie, je vois par la fenêtre qu’une charrette s’est enlisée au milieu de la rue. Un paysan dans son poncho de grosse laine noire malmène les boeufs harassés par tant de pluie et de gadoue.
Macondo era entonces una aldea de veinte casas de barro y cañabrava construidas a la orilla de un río de aguas diáfanas que se precipitaban por un lecho de piedras pulidas, blancas y enormes como huevos prehistóricos.— (Gabriel García Márquez, traduit par Claude et Carmen Durand, Cien años de soledad, DeBolsillo, 2003)
Macondo était alors un village d’une vingtaine de maisons en glaise et en roseaux, construites au bord d’une rivière dont les eaux diaphanes roulaient sur un lit de pierres polies, blanches, énormes comme des œufs préhistoriques.
Todas as madrugadas a nossa mãe se antecipava ao Sol: colhia lenha, buscava água, acendia o fogo, preparava o comer, laborava na machamba, avivava o barro, tudo isso ela fazia sozinha. Agora, sem razão aparente, o marido dividia com ela o peso da realidade?— (Mia Couto, traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues, A confissão da leoa, Editorial Caminho SA, Lisbonne, 2012)
Tous les matins notre mère devançait le Soleil : elle ramassait du bois, allait chercher de l’eau, allumait le feu, préparait à manger, travaillait à la machamba, ravivait l’argile, elle faisait tout ça toute seule. Maintenant, sans raison apparente, son mari partageait-il avec elle le poids de la réalité ?