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Soldat — Avez-vous apporté quelque chose à manger ?
(...) cierta vez, al encontrarme con la colegiala, ésta me preguntó si yo era el autor de las cartas que le llevaba su enamorado. No me atreví a renegar de mis obras y muy turbado le respondí que sí. Entonces me pasó un membrillo que por supuesto no quise comer y guardé como un tesoro.— (Pablo Neruda, traduit par Claude Couffon, Confieso que he vivido, Editorial Seix Barral, 1974)
(...) un certain jour où je rencontrai la collégienne elle me demanda si j’étais l’auteur des lettres que son amoureux lui apportait. Je n’osai pas renier mes oeuvres et, très troublé, lui répondis que oui. Elle me tendit alors un coing que, bien entendu, je ne voulus pas manger et que je conservai comme un trésor.
Todas as madrugadas a nossa mãe se antecipava ao Sol: colhia lenha, buscava água, acendia o fogo, preparava o comer, laborava na machamba, avivava o barro, tudo isso ela fazia sozinha. Agora, sem razão aparente, o marido dividia com ela o peso da realidade?— (Mia Couto, traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues, A confissão da leoa, Editorial Caminho SA, Lisbonne, 2012)
Tous les matins notre mère devançait le Soleil : elle ramassait du bois, allait chercher de l’eau, allumait le feu, préparait à manger, travaillait à la machamba, ravivait l’argile, elle faisait tout ça toute seule. Maintenant, sans raison apparente, son mari partageait-il avec elle le poids de la réalité ?
Todavia, há alguns truques: beber um copinho de azeite para olear os «tubos» antes de uma pândega (também me ensinaram isso; a minha mãe soube-o de um velho padre siberiano) e não comer ao mesmo tempo (disseram-me o contrário, por isso dou este conselho com alguma circunspeção).— (Emmanuel Carrère, traduit par Manuela Torres, Limonov, Sextante Editora, Porto, 2012)
Néanmoins, il y a quelques trucs : s’enfiler un petit verre d’huile pour graisser les tuyaux avant une beuverie (on me l’a appris à moi aussi : ma mère le tenait d’un vieux prêtre sibérien) et ne pas manger en même temps (on m’a appris le contraire, je livre donc le conseil avec circonspection).
Antigamente, não havia senão noite. E Deus pastoreava as estrelas no céu. Quando lhes dava mais alimento elas engordavam e a sua pança abarrotava de luz. Nesse tempo, todas as estrelas comiam, todas luziam de igual alegria.— (Mia Couto, traduit par Elisabeth Monteiro Rodrigues, A confissão da leoa, Editorial Caminho SA, Lisbonne, 2012)
Autrefois, il n’existait que la nuit. Et Dieu faisait paître les étoiles dans le ciel. Quand Il les alimentait davantage, elles grossissaient et leurs panses regorgeaient de lumière. En ce temps-là, toutes les étoiles mangeaient, elles luisaient toutes de la même joie.