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Elle avait l’air aussi peu contrarié que possible, quand je l’étais horriblement, moi ! quand je l’étais jusqu’à la colère, — une colère à me fendre en deux et qu’il fallait cacher !— (Jules Barbey d'Aurevilly, Le Rideau cramoisi, 1874, réédition Gallimard, collection Folio Classique, page 62)
Avec la serpette, elle fend en quatre l’extrémité d’un brin qu’elle engage ensuite dans le fendoir. Un coup de manivelle et le brin s’ouvre en quatre comme une corolle de fleur.— (François Gardi, L’Atelier du vannier, Éditions de Borée, 2004, page 383)
L’exécution des condamnés a lieu l’hiver, à 7 heures du matin ; mais il fallait être rendu avant minuit : autrement on ne pourrait plus fendre la foule.— (Ivan Tourgueniev, L’Exécution de Troppmann, avril 1870, traduction française de Isaac Pavlovsky, publiée dans ses Souvenirs sur Tourguéneff, Savine, 1887)
Un camion à plateau des services techniques, chargé de barrières métalliques, fend à cet instant la foule, de sorte que chacun rentre chez soi, .— (Michel Embareck, Avis d'obsèques, L'Archipel, 2013, chapitre 1 (Décapsulé))
Au 31 du mois d'Août Nous vîmes venir sous le vent à nous Une frégate d'Angleterre Qui fendait la mer et les eaux Pour aller bombarder Bordeaux.— (Au 31 du mois d'Août, chanson traditionnelle de marins, début XIXe siècle)
Sitôt dehors, l'inspecteur sentit fondre toute sa rancune et se fendit généreusement d'une tournée de café crème et de croissants chauds.— (Paul Berna, Le cheval sans tête, 1955, réédition Le Livre de Poche, 1980, page 181)
François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage