hôtelier

(Date à préciser) Dérivé de hôtel, avec le suffixe -ier.

(c. 1180) osteler (« moine chargé de recevoir les étrangers »).

hôtelier ^{(h muet)}\ɔ.tə.lje\ masculin

1. Qui concerne l’hôtellerie.
   • Il est vrai qu'à cette époque, les parents et leur progéniture ne partaient pas en « ouikende » prolongé, les syndicats hôteliers ne s'immisçaient pas dans la pédagogie, le corps médical pondait moins de fadaises quant au rythme biologique . — (Jacques Mallouet, Les jours chiffrés, éd. Payot, 1999, page 234)
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• à l’hôtelière

hôtelier ^{(h muet)}\ɔ.tə.lje\ masculin (pour une femme, on dit : hôtelière)

1. Celui qui tient un hôtel pour voyageurs.
   • Mais c’est faisable, dit La Mole en se préparant comme son compagnon à rouer l’hôtelier de coups de fouet. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
2. (Religion) Se disait, dans quelques abbayes, d’un religieux chargé de recevoir et de nourrir les hôtes de passage.
   • Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)

• France (Nancy) : écouter « hôtelier  »

• Tout ou partie de cet article a été extrait du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition, 1932-1935 (hôtelier), mais l’article a pu être modifié depuis.