il n’y a que la vérité qui blesse \il n‿i a kə la ve.ʁi.te ki blɛs\
D'ailleurs il eût été inutile, dit Monsieur Arnaud, de chercher tant de ménagemens, puisqu’il n'y a proprement que la verité qui blesse, & qu'ainsi quelque précaution que l'on eût prise pour le choix des termes, Monsieur Mallet n'eût pas laissé qu'on lui répondit avec outrage, parce que le même aveuglement qui lui a fait commettre tant d'excès l'empêchoit de le reconnoître, .— (Lettre apologétique pour Monsieur Arnaud, écrite à un abbé de ses amis, Cologne : chez Pierre Marteau, 1688, page 36)
L'article que nous avons publié à ce sujet, dans notre numéro du 17 décembre, a mis en émoi la presse pharmaceutique. La Pharmacie belge du 1er janvier consacre deux articles et un feuilleton à récriminer contre les vérités que nous avons exposées à propos de ce titre. Tant il est vrai que la sagesse des nations a toujours raison : Il n'y a que la vérité qui blesse.— (« Encore un flot à propos du titre de Docteur en Pharmacie », dans la Gazette médicale belge: journal hebdomadaire, de littérature, de critique et de nouvelles médicales, no 5, du dimanche 4 février 1849, page 17)
Comme sa question avait valeur de jugement, la mère en fut vivement affectée. En retour, sans précaution aucune, elle lui appliqua une gifle.— (Jean-Paul Malaval, L'Auberge des diligences, Presses de la Cité, 2009, chap. 9)
— Il n'y a que la vérité qui blesse, se vengea Faustine.