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Papier imbibé de teinture de tournesol, un indicateur coloré qui permet de déterminer le pH d’une solution : il est rouge au contact d’un acide et reste bleu au contact d’une base, avec des teintes intermédiaires à différents pH.
Essayée par quelques réactifs, cette eau de grêle a présenté les phénomènes suivants : elle a rougi la teinture et le papier de tournesol et le sirop de violettes, ramené au jaune le papier de curcuma bruni par la potasse; et cette réaction n’a point disparu après vingt quatre heures d’exposition à l’air.— (Observation d’une pluie acide, par M. Ducros, pharmacien à Nîmes., Journal de pharmacie et de chimie, 1845, série 3, tome 7, page 273)
On se sert de papier de tournesol bleu et rouge pour reconnaître les acides et les bases.— (Roberto Duarte Silva, Rodolphe Engel, Traité d’analyse chimique, 1891, page 27)
Le papier de tournesol bleu ou rouge doit posséder une coloration franche sans être trop foncée , et se mouiller facilement par les liquides.— (Émile Jungfleisch, Manipulations de chimie : guide pour les travaux pratiques de chimie de l’Ecole supérieure de pharmacie de Paris, 1893, page 821)
Sa solution rougit le papier de tournesol ; elle distille sans se décomposer si l’on chauffe avec précaution ; les vapeurs qu’il forme sous la pression ordinaire ont une température comprise entre 339 et 356°.— (J. Fritsch, Fabrication et raffinage des huiles végétales, manuel à l’usage des fabricants, raffineurs, courtiers et négociants en huiles, H. Desforges, Paris, 1905, page 5)
