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(XVIIIe siècle)Et d’ailleurs, dit la présidente d’un air conciliant, elle est sa maîtresse, cette fille ; et ce jeune homme n’a contre lui que sa jeunesse, dans le fond.— (Marivaux, Le Paysan parvenu, 1735, page 37)
6 mois avant les présidentielles de 2007 Ségolène Royale était présidente de la République— (Étienne Campion, « “Contrairement aux élus, les électeurs qui restent à LR sont plus proches d’une ligne RN” », dans Le Figaro, 29 mai 2019)
« Lorsque nous nous sommes syndiqués dans les années 1980 et que nous avons négocié notre première convention collective, nous assumions déjà la moitié de l’enseignement », rappelle Carole Neill, la présidente du syndicat des chargés de cours de l’Université du Québec à Trois-Rivières.— (L’aut’journal, 18 octobre 2013)
En revanche, à l’époque, personne n’attaque avocate, ni députée, ni présidente, qui ne peuvent être employés qu’au sens figuré, ou conjugal (la femme de). C’est seulement quand ces fonctions deviendront accessibles et qu’on pourra employer ces termes au sens propre, qu’on se mettra à les conspuer.— (Éliane Viennot, « “De nombreuses alternatives existent pour éviter un langage sexiste” », dans Alternatives économiques, 31 janvier 2019)
Les animaux, désocialisés, sont peureux. L’APA a porté plainte pour cruauté, et la présidente craint qu’il ne soit trop tard pour « parvenir à les resocialiser ».— (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 9 septembre 2022, page 2)
Les fonctions de receveur ne sont guère remplies que par des hommes ; quand elles le sont par une femme, on dit receveuse : receveusedes billets d’un théâtre. En parlant de la femme d’un receveur, on dit aussi, madame la receveuse, comme on doit pouvoir dire, madame la fournisseuse générale ; comme on a dit autrefois familièrement et par plaisanterie, madame la procureuse ; comme on dit encore parfaitement bien, madame la procureuse générale, madame la procureuse du roi, madame la maréchale, madame la générale, madame la préfète, madame la sous-préfète, madame la présidente, madame l’élue, etc.— (Léger Noël, La clef de la langue et des sciences, ou Nouvelle grammaire française encyclopédique et morale, Dutertre, Paris, 1845-1861, page 511)
Pradel Pompilus, La langue française en Haïti, chapitre I (« Le nom : son exposant, l’article ; les substituts de l’article et les mots qui remplacent le nom »), Éditions de l’IHEAL, Paris, 1961, ISBN978-2-37154-105-4, page 54-69