reviens-y \ʁə.vjɛ̃.z‿i\
Le portier avait déjà saisi son balai pour assommer son persécuteur… Mais, pendant les préparatifs de l’attaque, celui-ci s’était esquivé. « Reviens-y, reviens-y. s’écrie le concierge, furieux ; je t’en donnerai de l’Henri M*** sur le dos ! Ah, gueux ! ah, menteur ! » etc., etc.— (Album de la Minerve, Journal de la Famille, 1er janvier 1874)
Ton bonheur et le mien m’arrachent de ces lieux.— (Thomas Otway, Venise sauvée, traduit par Pierre-Antoine de La Place, N. B. Duchesne, 1777)
Reviens-y dans la nuit, je t’en instruirai mieux ;
La gloire et l’amitié m’arment pour ta défense.
— Revenez-y ! Et je vous fous les gendarmes aux trousses !— (Bernard Clavel, Les Fruits de l’hiver, chapitre 67, Robert Laffont, 1968)
Invariable |
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reviens-y \ʁə.vjɛ̃.z‿i\ |
reviens-y \ʁə.vjɛ̃.z‿i\ masculin singulier invariable
Un air de reviens-y, un goût de reviens-y.
Le bonheur, quoi ! Un machin qui a un arrière-goût de liberté si tu me comprends, personne sur ton dos et une récompense. Un arrière-goût de reviens-y.— (Paul Bedel et Catherine École-Boivin, Testament d'un paysan en voie de disparition, Éditions Retrouvées, 2017, ISBN 978-2365591010)