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possiblement de l'italien ou du latin 'Colica saturnina"
Saturne faisant référence au plomb ou à e qui y ressemblait
(c. 1626) "sel de Saturne" page 47 dans Les Élémens de chymie de Maistre Jean Béguin, reveus, expliquez et augmentez par Jean Lucas de Roy,... 4e édition
avec l'orthographe saturnine
(c. 1796) Nicolas Saucerotte écrit "préparations saturnines" en page 42 dans De la conservation des enfans pendant la grossesse, et de leur éducation physique, depuis la naissance jusqu'à l'âge de six à huit ans ... Par le cit. Saucerotte
(c. 1797) Philippe Pinel écrit "Il semble que Stoll ait profité de cet avis, puisqu'il a fait de nouvelles recherches sur la colique de plomb ( Colica saturnina )" en page 110 dans Nosographie philosophique, ou La méthode de l'analyse appliquée à la médecine. Tome 2 / , par P. Pinel
(c. 1802) Benjamin Bell écrit "maladie saturnine; on a ainsi nommé la siphilis" en page LIX du Traité de la gonorrhée virulente et de la maladie vénérienne, de Benjamin Bell,... traduit sur la 2e édition anglaise et augmenté d'un grand nombre d'observations... par Édouard Fr. M. Bosquillon
(c. 1802) Joseph Juglar écrit "les préparations saturnines, mercurielles" en page 66 de l' Histoire analytique de la variole, de son inoculation et de celle de la vaccine... par J. Juglar
(c. 1804) Valeriano Luigi Brera écrit "si l'étain n'est pas bien purgé et pur, la colique saturnine et la paralysie" en page 210 dans le Traité des maladies vermineuses, précédé de l'histoire naturelle des vers et de leur origine dans le corps humain, par Valérian Louis Brera. Traduit de l'italien et augmenté de notes par les citoyens J. Bartoli,... et Calvet'
M. Galliard parle d'une saturnine dont le liséré gingival, extrêmement dense, s'était décalqué sur la muqueuse des deux lèvres, — (Revue générale de clinique et de thérapeutique, 1903.)