Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot malade. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot malade, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire malade au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot malade est ici. La définition du mot malade vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition demalade, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Ultracompétente et plutôt aimable (pour peu que vous respectiez son statut), elle sait contourner le règlement pour sauver la peau d’un malade : en l'occurrence, bibi.— (Gilles Bertin, Trente ans de cavale, 2019)
Mais je conseille peu l’Islande aux malades, aux invalides et à quiconque est habitué au confort des hôtels et des wagons-lits.— (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 19)
— (les Martiens, au moyen d’une drogue procurant des rêves magnifiques, supprimaient les malades, les infirmes et les mal nés, de sorte que, chez eux, la pitié était des plus rudimentaires) — — (Benjamin De Casseres, Arcvad le terrible, traduction de Émile Armand, dans Les Réfractaires, n° 1, janvier 1914)
Stérilité – Jadis masculin, « COVID-19 » est féminin ! « Malade » ? Épicène !— (Cornéliu Tocan, Aux confins de l'invisible. Haïkus d'intérieur illustrés, Créatique, Québec, 2020, page 56)
(Spécialement) Personne faisant l'objet des soins d'un médecin ou d'un établissement de santé. (syn. : patient)
Que dire à ce point de vue de l’infirmerie de Gray's Inn? Pour ces 500 malades, il n’y a qu'un médecin.— (Paul-Gabriel d’Haussonville, L’Enfance à Paris, 1879, Calmann-Lévy, page 126)
C’était un milieu agréable et sans morgue, beaucoup plus humain que celui de la Salpêtrière et où le malade n’était pas considéré comme un simple support de la maladie.— (Léon Daudet, Souvenirs littéraires – Devant la douleur, Grasset, 1915, réédition Le Livre de Poche, page 132)
L’état physique du malade était des plus piteux : . Le malade vint en septembre 1915, sur le conseil d’un de mes clients. À partir de ce moment, les progrès ont été très rapides et actuellement (1925), ce monsieur se porte parfaitement bien. C’est une vraie résurrection.— (Émile Coué, La Maîtrise de Soi-même par l’autosuggestion consciente, 1922, éd. 1935, page 40)
La façon dont le malade a eu connaissance de son diagnostic est très variable.— (Maurice Tubiana, Le refus du réel, 1977, Robert Laffont)
Ce matin du 29 février 1968, les médecins, les infirmières et les malades de l'Hôtel-Dieu de Limonois n'en croyaient pas leurs yeux.— (Pierre Gérin, Comme un vol de corbeaux, MFR éditeur, 2000, page 65)
(Familier) Personne dangereuse parce que dérangée mentalement, ou présentée comme telle.
« Il me battait avec la ceinture. Il me la montrait avant, puis, après m'avoir « strapé », il me demandait de l'embrasser sur le bord de la joue... c'est un malade! Le même soir, il est venu me chercher dans mon dortoir et il m'a agressé physiquement, sexuellement, c'est allé jusqu'à la sodomie. C'est une bête... c'est un sadique, un malade! », a déclaré une victime qui a accepté de raconter son calvaire aux médias.— (Le Journal de Québec, 25 mars 2010)
(Familier) Dément, personne au comportement extraordinaire ou excessif
Paul nota en traversant la foule que Sarfati n’était pas appelé autrement que « Gros Ben », et que son élection était de l’avis général considérée comme « un truc de malade.— (Michel Houellebecq, Anéantir, 2022)
(Droit) Personne ne participant plus aux hostilités du fait d'une maladie et qui à ce titre ne constitue plus une cible légitime et bénéficie de la protection du droit international humanitaire si elle dépose les armes.
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage