Singulier | Pluriel |
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soufrage | soufrages |
\su.fʁaʒ\ |
soufrage \su.fʁaʒ\ masculin
Le soufrage des allumettes.
En 1910, huit traitements à la bouillie furent nécessaires pour sauver environ les 2/3 de la récolte dans nos Balzacs, Colombards, Montis, Balzacs blancs et Saint-Émilion renforcés de quatre à cinq soufrages au soufre-sulfaté.— (Le Progrès agricole et viticole, vol.60, page 36, 1913)
Ce qui a lieu d’étonner, c’est que l’auteur consacre à peine quelques lignes au procédé du soufrage, qui est pourtant la cause unique de la richesse extraordinaire de l’Hérault et de tous les pays qui l’ont largement pratiqué ; on dirait qu’il ne peut pas se résigner à croire à la maladie de la vigne.— (L. de Lavergne, Chronique de la quinzaine, histoire politique et littéraire, Revue des Deux Mondes, Eugène Forcade, 2e période, tome 42, 14 décembre 1862, page 1025)
Toutes les opérations qu’on exécute pour clarifier les vins sont fondées sur ce principe : le mucilage, le tartre et l’extractif qui étaient en dissolution dans le moût, ne sont plus qu’en suspension dans le vin bien fermenté, et se déposent peu-à-peu ; le soufrage facilite la formation du dépôt, et le soutirage sépare ces matières de la liqueur.— (Jean-Antoine Chaptal, Chimie appliquée à l’agriculture, Madame Huzard, 1823, page 221)
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