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(Équitation)Lieu où se font les courses de chevaux.
Mais si les courses ne donnent point au cheval les caractères de bonté que l’on en attend, pourquoi le gouvernement français les subventionne-t-il ? pourquoi ne laisserait-on pas les amateurs du turf se soutenir par eux-mêmes ?— (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France, École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
(Par extension) Ensemble des activités liées aux courses de chevaux et aux paris sur celles-ci.
Exactement comme au turf, toujours un imprévu qui fait battre le favori.— (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre IX, Série noire, Gallimard, 1956, page 85)
Curiosité des premiers clients du matin, interrogatoire serré du patron du Monte-Carlo, questions indiscrètes du chasseur, de quelques tapineuses déjà sur le turf. Enfin, quoi, la badauderie habituelle— (Jo Barnais, Mort aux ténors, chapitre XXI, Série noire, Gallimard, 1956, page 187)
Elle lui sourit de sa bouche écarlate, mais le reste de son visage restait grave.Un turf. Pas autre chose qu’un de ces turfs, comme il y en autant aux Champs-Élysées.— (André Héléna, L’Article de la mort, Fleuve Noir, Paris, 1965)
Et d’autres encore, des convalescents, des punis qui avaient fini leur peine et qu’on allait remettre au turf.— (Raymond Guérin, Les Poulpes, Gallimard, Paris, 1953)
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →