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N’eus netra gwellocʼh da reiñ nerzh eget ar yod kercʼh.— (Loeiz ar Flocʼh, Plant Breizh evit ho yecʼhed, Mouladurioù Hor Yezh, 1983, page 68)
Il n’y a rien de mieux pour donner des forces que la bouillie d’avoine.
Paskolig ha Soazig o doa koaniet gant yod kercʼh silet .— (Ivon Krog, Eur zacʼhad marvailhou, Buhez Breiz, 1924, page 156)
Paskolig et Soazig avaient dîné avec de la bouillie d’avoine .
Arabat ivez ankounacʼhaat talvoudegezh ar cʼhercʼh evit magañ an dud : n’eus netra wellocʼh eget yod kercʼh evit magañ ha reiñ nerzh hep pouezañ war ar stomok hag ar bouzelloù.— (ar Cʼhouer Kozh, Ar cʼhercʼh, in Arvor, niv. 162, 27 Cʼhwevrer 1944, page 2)
Il ne faut pas oublier non plus la valeur de l’avoine pour nourrir les gens : il n’y a rien de meilleur que de la bouillie d’avoine pour nourrir et donner des forces sans peser sur l’estomac et les intestins.