Nom propre |
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Douarnenez \dwaʁ.nə.ne\ |
Douarnenez \dwaʁ.nə.ne\
Quand, venant de Douarnenez par Ploaré, on est près d’atteindre la calme plage du Riz, on se trouve subitement en face d’une échancrure de roches roses, surmontées de pins maritimes, entre lesquelles il y a la mer, bleue comme celle de l’Estérel.— (Pierre Benoit, La Chaussée des géants, 1922, Albin Michel, réédition Le Livre de Poche, page 182)
Les sardiniers et les pêcheurs de thon de Douarnenez, de Concarneau et d’Audierne, eux, sont les véritables prolétaires de la mer.— (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
L’année suivante, une autre « friterie » était créée à Lorient, et en 1828 Douarnenez voyait s'ouvrir sa première conserverie. Très rapidement les « friteries » de sardines se multiplièrent sur toute la côte, de Pornic à Camaret, avec quelques avant-postes sur les côtes de la Manche.— (Maurice Le Lannou, Géographie de la Bretagne, tome 2 : Économie et population, Rennes : Plihon éditeur, 1952)
Entre le travail en usine, le ramendage des filets, l’entretien des vêtements de pêche, la tenue du foyer et les maternités, les femmes de Douarnenez sont des battantes avant la lettre !— (Anne-Denes Martin, Les ouvrières de la mer: histoire des sardinières du littoral breton, 1994, page 50)
En effet, on vit partout, aussi bien au centre de Paris qu’aux Batignolles (il y est né), aussi bien à Zouafques qu’à Douarnenez.— (Jean-Claude Corger, Lire Perros, 1995, page 76)
Mutation | Nom |
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Non muté | Douarnenez |
Adoucissante | Zouarnenez |
Douarnenez \duarˈnẽːnɛs\ \duarˈnẽːnəs\ féminin
Chom a ris div sizhunvezh leun e Douarnenez.— (Youenn Drezen, An dour en-dro d’an inizi, Éditions Al Liamm, 1972, page 39)
Kemerit an hent-houarn, kemerit an hent-mor da vont da Zouarnenez, dre forzh pezh tu e fell deocʼh tizhout kêr, a-bell e welit dirazocʼh war an duchenn, savet evel ur bir, tour iliz Ploare.— (Herle Blomarcʼh, Un tour kaer : Ploare, in Al Liamm, no 9, juillet-août 1948, page 63)