Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot le. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot le, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire le au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot le est ici. La définition du mot le vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition dele, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Ce… dont on parle maintenant. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible dans un contexte.
Le petit chat dort sur le canapé.
Le seul. Déterminant marquant un nom masculin singulier, référant à une seule entité possible par définition.
Le drapeau des États-Unis.
Le chef-lieu de ce canton.
(Sujet d’une proposition) Tout, sans exception.
Le lion est un mammifère carnivore.
(Le + nom propre) Marquant une vaste région comme un pays, un continent, une province ou un État, ou un cours d’eau. Note : Absent sur les cartes. Le dans un nom de ville comme Le Havre est une partie du nom.
Le Canada.
Le Rhône.
(Le + nom propre) Marquant un nom propre dont le noyau est issu d’un nom commun.
Le Royaume de Suède.
(Le + nom commun + nom propre) Attribut du nom propre suivant.
Le vaisseau Soyouz décollera dans quelques minutes.
(Prénom + le + attribut) Surnom du prénom précédent.
La plupart des noms propres s’emploient sans article ; mais on le trouve avant beaucoup de noms géographiques (le Japon, la France, le Danemark, le Tibre, le Rhône…) ou devant les noms des familles princières (les Bourbons, les Stuarts…). On peut aussi le rencontrer devant des noms de famille d’origine italienne (le Tasse, l’Arioste) ou de cantatrices célèbres (la Malibran, la Patti).
Dans un registre plus familier on peut le trouver avant un prénom (la Julie, le Louis) ; il a alors souvent une connotation péjorative sauf dans l’est et le Midi de la France où il est employé couramment à l’oral sans aucun sous-entendu particulier.
Parfois l’article a une valeur particulière : démonstrative (Il arrive à l’instant) ou exclamative (Le bel enfant !).
Danois : (singulier) (sans adjectif ni complément du nom (-en(da)(commun), -et(da)neutre)), en cas d'adjectif ou de complément du nomden(da)(commun) , det(da) (neutre)
Pronom représentant celui (personne ou objet) dont on parle. Utilisé en tant que complément d’objet direct. Devant un son vocalique (voyelle ou h muet), le e est élidé et le pronom se transforme en l’.
Je ne lui cachai pas que le néo-malthusianisme n'avait rien qui m’emballât par la façon même où nous le présentaient ceux qui le prônaient.— (Jean Grave, Quarante ans de propagande anarchiste, présenté et annoté par M. Delfau, Flammarion, 1973, page 553)
Il avait de la misère à traverser la rue : chaque fois, je le surveillais par la fenêtre. J'avais peur qu'il se fasse frapper.— (Sylvain Laquerre, Antonio le Grand : biographie, Amérik Média, 2006, page 48)
Je l’aime. — Je le veux bien. — Tu veux bien me le prêter ?
(Attribut du sujet) Pronom représentant l’attribut précédent, le plus souvent avec le verbe être. Peut être modifié par plus ou moins comme adjectif. Note d’usage : Ne s’accorde ni en genre ni en nombre.
Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été. Ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver.— (Montesquieu, Lettre C. Rica au même, dans Lettres persanes, 1721)
L’Italie tient à être l’amie de la France ; elle ne peut le rester qu’à la condition que sa position à Rome ne soit pas troublée, et, puisque le catholicisme joue un rôle si considérable en France, il importe que les hommes de bonne foi soient convaincus que leurs croyances ne courent aucun danger par le changement politique qui s’est fait à Rome.— (R. Bonghi, Le Gouvernement de l’Italie et la papauté, dans Revue des Deux Mondes, tome 105, 1873)
Le pronom le précède toujours le verbe qu’il complète, sauf à l’impératif présent : je le prends, prends-le.
Le pronom leprécède le pronom complément d’objet indirect lui, mais suit les pronoms compléments d’objet indirects me et te : il me le donne, il te le donne, il le lui donne. Par contre, à l’impératif, il précède toujours le pronom complément d’objet indirect : donne-le-moi, donne-le-lui, donne-le-nous.
Finnois : (référant à un humain)häntä(fi)(partitif), hänet(fi)(accusatif), (référant à un inanimé, ou familier, à un humain)sitä(fi)(partitif), sen(fi)(accusatif)
↑Seule la 3e personne présente des oppositions de genre.
↑La 3e personne indéfinie (on, pronom aussi dit impersonnel ou omnipersonnel) est souvent employée en registre informel à la place de la 1re personne du pluriel, et aussi, moins souvent, à la place des autres personnes, du singulier ou du pluriel.
↑La 2e personne du pluriel (vous) est aussi utilisée comme singulier de politesse.
↑Florence Ashley, Les personnes non-binaires en français : une perspective concernée et militante, H-France Salon Volume 11, Issue 14, #5, 2019
↑Kris Aric Knisely, Le français non-binaire : Linguistic forms used by non-binary speakers of French, Foreign Language Annals, volume 53, n° 4, décembre 2020, pages 850–876
upon arrival, le girlfriend realizes she has left her ID back at my house (a 1 1/2 hour roundtrip on the Metro), — (LaManna, My Weekend…, sur le site alt.punk / Usenet, 2001 → lire en ligne)
And then le boyfriend perks up and names around 8 different brands (Stila, MAC, Becca, Nars etc..) - I was *SO* proud of him!! :)— (Amelia, Re: Neat things SANTA brought me..., sur le site alt.fashion / Usenet, 2002 → lire en ligne)
That's when Waitress Seductress Extraordinaire comes back and gets our order. "We're sharing an order of à la Appalachia, he says, handing over the menus and turning his focus back to me. Le waitress stomps off. I ask, "Why are they called that?" "Because when they've got the fries stacked up they're higher than a mountain range." I groan and touch my stomach. "You're funny," he says, his eyes twinkling.— (Miranda Kenneally, Stealing Parker, Sourcebooks, 1er octobre 2012, page 63)
During much of the late Anglo-Saxon period Chester-le-Street was one of the most important places in the North of England and a focus for religious power.— (« Chester-le-Street », England's North East→ lire en ligne)
(1499) Du moyen breton le[1], issu du vieux breton lu, qui serait d’un celtique *lug-io- « serment », qui remonte à l’indo-européen *h₂leugʰ- « annoncer, déclarer », duquel procèdent aussi le vieil irlandais fol·lugaid « cacher », le néerlandais liegen « mentir » et le polonais łgać « mentir ». À comparer avec le gallois llw, le cornique li et l’irlandais luige (sens identique).[2][3]
Du vieux breton le[3], issu d’un celtique *legiom « endroit », qui remonte à l’indo-européen commun *legʰ- « s’allonger, gésir », duquel procèdent le latin lectus « lit », le grec ancien λέχος, lékhos « lit, couche » et le russe лог, log « ravin ».
À comparer avec le gallois lle, le cornique le et le vieil irlandais lige « lit ».
Tri zra, dreist-holl, a lakae Iwerzhoniz diaes : al le a fealded, an isroue, hag an tailhoù war an douar.— (X., De Valera, in Al Liamm, no 12-13, janvier-avril 1949, page 83)
Trois choses, surtout, contrariaient les Irlandais : le serment de fidélité, le vice-roi, et les impôts sur les terres.
« Ho mab eo, » eme ar Mestr. « Kasit anezañ ganeocʼh. Eur paotr gouest eo bremañ, m’hen tou war va le. »— (Yann ar Flocʼh, Koñchennou eus Bro ar Ster Aon, Kemper, 1950, page 144)
« C’est votre fils, » dit le Maitre. « Emmenez-le avec vous. C’est un garçon compétent maintenant, je le jure par mon serment. »
— N’ecʼh eus ket a zonj, Mordiern, ez peus bet touet d’in war ar menez-man eur garantez divarvel ? — Sonj am eus, ha va le a zalcʼhan.— (Jakez Riou, Lizer an hini maro, Brest, 1925, page 43)
— Ne te souviens-tu pas, Mordiern, que tu m’avais juré sur cette montagne un amour éternel ? — Je m’en souviens, et je tiens mon serment.
Ne m’eus ket graet va leoù, Aotou Aobri. Lavaret am eus deocʼh n’on nemet un hanter manacʼh.— (Paul Féval, Boudig an aod, traduit par Per Denez, Mouladurioù Hor Yezh, 1987, page 140)
Je n’ai pas prononcé mes vœux , Monsieur Aubri. Je vous ai dit que je ne suis qu’à demi moine.
Er gegin, Lizig a oa o peurskaotañ he listri war-lercʼh merenn en ur vouskanañ Kantik Sant Merven gant he mouezh kazh gwêget, pa glevas, dre ar prenestr digor, un arigennad[sic : aridennad]leoù-Doue ha sakreadennoù eus ar seurt a zesker war listri ar Cʼhouarnamant, meneg enne eus diaoulien, mallozhioù, krocʼhen an ene hag all.— (Jakez Konan, Noblañs, in Al Liamm, no 107, novembre-décembre 1964, page 411)
Dans la cuisine, Lizig terminait de faire la vaisselle du déjeuner en chantonnant le Cantique de Sant Merven de sa voix de chat malade, lorsqu’elle entendit, par la fenêtre ouverte, une bordée de jurons et de blasphèmes du genre que l’on apprend sur les navires du Gouvernement, dans lesquels on mentionne les diables, les malédictions, la "peau de l’âme" , etc.