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Rouvroy-lès-Pothées et Remilly-lès-Pothées, malgré leur nom, ne faisaient pas non plus partie de la baronnie des Potées. L'expression lès ou lez indique seulement que ces villages en étaient voisins.— (F.-X. Masson, Annales Ardennaises ou histoire des lieux qui forment le département des Ardennes et des contrées voisines, Mézières : Lelaurin, 1861, volume 1, page 533)
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François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
(Nom 1)(1499)[1] Du moyen breton les[1], du vieux breton lis[2], d’un proto-celtique *lisso-, pour *plisso- issu de l’indo-européen commun *pḷt-so- (« enclos »), dont on trouvera la racine sous ledan[3]. Apparenté au gallois llys, au vieil irlandais liss et less, à l’irlandais et au gaélique écossais lios (« jardin »), au latin pluteus (« palissade »), au slavon плотъ, plotŭ (« enclos »).
(Nom 2)(1659)[4] Du vieux breton let[2], d’un proto-celtique *let-s-o-, dérivé secondaire d’un proto-celtique *let-os (« côté ») qui répond au latin latus. Apparenté au gallois lled (« côté, moitié »), au vieil irlandais, à l’irlandais et au gaélique écossais leth de même sens.
En em gavet dirak lez ar roue Grallon, hemañ, o klevout an trouz a oa, a ya ivez da sellout, e vercʼh Ahez en e gichen.— (Amable-Emmanuel Troude et Gabriel Milin, Labous ar Wirionez ha marvailhoù all, Skridoù Breizh, 1950, page 154)
Quand il fut arrivé devant le palais du roi Gradlon, celui-ci entendant le bruit que l’on faisait, alla aussi pour voir, ayant près de lui sa fille Ahez.
Adrian zo pignet en ur wezenn . Kouezhet eo, torret e zivesker, hag e lez, hag e skoaz, ha me oar petra cʼhoazh.— (Roparz Hemon, An tri boulomig kalon aour, Al Liamm, 1961, page 177)
Adrian a grimpé dans ur arbre . Il est tombé, s’est cassé les jambes, et la hanche, et son épaule, et que sais-je encore.
Prederiet ma oa gant e gazh, n’en doa ket gwelet Youenn, ar pikol peizant, ur cʼhased a zen, sonn en e sav e toull un nor, e zaouarn gantañ ouzh e zivlez.— (Yann-Fulub Dupuy, Penn ar veaj, Keit vimp bev, 2005, page 14)
Tout préoccupé qu’il était par son chat, il n’avait pas vu Youenn, un énorme paysan, une armoire à glace, qui se tenait debout droit sur le pas de la porte, ses mains sur les hanches.
Gwad o redek, o teverañ, o kailhañ ouzh izili ha divlezoù ar gadourien.— (Kad Mag Muccrime, in Al Liamm, no 47, mars–avril 1954, page 52)
Le sang coulait, se caillait sur les membres et les hanches des guerriers.
An tousegi, war lez an hent, a gan o hiraezh, .— (Jakez Riou, An tousegi, in Al Liamm, no 47, novembre–décembre 1954, page 9)
Les crapauds, sur le bord du chemin, chantent leur nostalgie, .
En em dennjont o fevar d’ober pinijen en eur cʼhoad don, war lez ar Savern.— (Yann-Vari Perrot, Bue ar Zent, Morlaix, 1912, page 533)
Ils se retirèrent tous les quatre pour faire pénitence dans un bois profond sur la rive de la Severn.
Ar mercʼhed, bodet a-dreñv ar wazed, a gilas d’al lezoù evit reiñ frankiz, o cʼhortoz o zro.— (Jakez Riou, Geotenn ar Wercʼhez, Éditions Al Liamm, 1957, page 58)
Les femmes, groupées derrière les hommes, se reculèrent vers les bordures pour faire la place, en attendant leur tour.
E tor un durumellig e oa ur cʼhoad, ha war lez ar cʼhoad, damguzhet endeo en deñvalijenn, ul lochenn.— (Roparz Hemon, An alouber, in Al Liamm, no 40, septembre-octobre 1953, page 8)
Sur le flanc d’un tertre se trouvait un bois, et à la lisière de ce bois, déjà à demi cachée dans l’obscurité, une hutte.
Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbelezel.
Petra a ya e kêr hag a lez e doull er gêr ? - An alcʼhwez.— (Jules Gros, Le Trésor du Breton parlé - Troisième partie - Le style populaire, 1974, page 331)
Quʼest-ce qui va en ville en laissant son trou à la maison ? - La clef.
Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe lezel.
— ; ro din ar cʼhant skoed, lez da sacʼh aze, ha kerzh kuit.— (Fañch an Uhel, Kontadennoù ar Bobl/3, Éditions Al Liamm, 1988, page 202)
— ; donne-moi les cent écus, laisse ton sac là, et va-t’en.