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Un ta est conventionnellement trois fois plus long qu’un ti. L’espace entre deux lettres égale trois ti.
Un instant plus tard, dans la nuit calme d’Aubenas, le son aigu de la sonnerie se répercuta de mur en mur : « Ti, ti, ti, ta, ta, ta, ti, ti, ti » Misouo s’appliqua, il ne devait pas se tromper : trois points, trois traits, trois points, .— (Patrick Misse, Les Parias d’Aubenas, 2012, ISBN9782917250594, page 394)
Je suis-t’y malheureuse ! Je suis-t’y une voleuse qu’on ne veut pas boire avec mé ?— (Hector Malot, En famille, 1893)
J’en ai-t-y attrapé des drôles de maladies !— (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
Vous allez-t’y rester dans not’ école ?— (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
— J’ai l’âge du général, chevrotait-il, on est de la même classe, moi et Charlot. Je suis-t-y à l’Élysée, moi ? Je suis-t-y à l’Élysée ?— (René Fallet, Paris au mois d'août, Denoël, 1964, Le Livre de Poche, page 24)
Sara Vecchiato, (2000), The TI/TU Interrogative Morpheme in Québec French, dans Eric Haeberli, Christopher Laenzlinger, (eds.), Generative Grammar in Geneva (the Department of Linguistics of the University of Geneva)1, pages 141-163.
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Verena Reichle. 1981. Bawm Language and Lore: Tibeto-Burman Area . (Europäische Hochschulschriften: Reihe XXI: Linguistik, 14.) Frankfurt am Main: Peter Lang. viii+6pp., page 15.
Apparenté au cornique ti, au gallois tŷ, au vieil irlandais tech et teg, à l’irlandais teach et au gaélique écossais taigh, au gaulois tegia (« maison »), du vieux breton tig, teg, ti : d'un celtique *teg-es- neutre, dérivé de la racine STEG > TEG (« couvrir »), que l’on retrouve dans le sanskrit स्थगयति sthag-aya-ti (« il couvre »), le grec στἐγ-ω (« je couvre ») et τέγ-ος (« toit »), le latin teg-ō (« couvrir ») et tec-t-um (« toit »), l’anglais thatch et l’allemand Dach (« toit ») et deck-en (« couvrir »), le lituanien steg-iu (« je couvre »). Voir aussi to[2].
Suhnu Ram Sharma. 2001. A Sketch of Byangsi Grammar. In Yasuhiko Nagano and Randy J. Lapolla (eds.), New Research on Zhangzhung and Related Himalayan Languages, 271-341. Osaka: National Museum of Ethnology, doi : 10.15021/00002149.
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Shree Krishan. 2001. A Sketch of Raji Grammar. In Nagano, Yasuhiko and Lapolla, Randy J. (eds.), New Research on Zhangzhung and Related Himalayan Languages, 449-497. Osaka: National Museum of Ethnology, page 453.
Suhnu Ram Sharma. 2001. A sketch of Rongpo grammar. In Nagano, Yasuhiko and Lapolla, Randy J. (eds.), New Research on Zhangzhung and Related Himalayan Languages, 195-270. Osaka: National Museum of Ethnology, page 211.
Thawornpat Mayuree. 2007. "Gong phonological characteristics." Mon-Khmer studies: a journal of Southeast Asian languages and cultures37: 197-216, page 210