Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot er. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot er, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire er au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot er est ici. La définition du mot er vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition deer, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Du moyen haut-allemand er, du vieux haut allemand er, du proto-germanique *iz. A remplacé les formes nordiques du vieux haut allemand avec \h\ initial.
Pronom personnel de la troisième personne du singuliermasculin au nominatif, pour parler d’une personne, d’un animal ou d’un objet grammaticalement masculins ou directement d’une personne de sexe masculin (sans interposition d’un nom ayant un genre grammatical) : il (ou – selon le genre grammatical du nom français correspondant – elle).
Ich sehe Ben nicht mehr. Wo ist er? ()
Je ne vois plus Ben. Où est-il ?
Schau mal da drüben. Ist er nicht süß? ()
Regarde là-bas. N’est-il pas mignon ?
Im Frauengefängnis versuchte ein Häftling zu entkommen, aber er kam nicht weit. ()
Dans la prison pour femmes, une détenue a essayé de s’échapper, mais elle n’est pas allée bien loin.
Der Kuchen steht auf dem Tisch. Er ist noch zu warm. ()
Le gâteau est sur la table. Il est encore trop chaud.
Mein Vater ist gegenwärtig in Wien. Er wird bald zurückkommen. ()
Mon père est présentement à Vienne. Il va bientôt revenir.
François Raynouard, Lexique roman ou Dictionnaire de la langue des troubadours, comparée avec les autres langues de l’Europe latine, 1838–1844 → consulter cet ouvrage
Er gwasked emañ war ribl ar stêr Aon a red he dour goustadik, evel gant keuz, war-du Kastellin.— (Jakez Riou, An ti satanazet, Skridoù Breizh, 1944, page 9)
Elle est à l’abri au bord de l’Aulne dont l’eau coule lentement, comme avec regret, vers Châteaulin.
« Un dra gaer e ve », eme un all, « klevout fallañ gaouiad a zo er vro (nemet me e ve) o vont da brezeg deomp, evel an aotrou person er gador, diwar-benn ar wirionez ! »— (Amable-Emmanuel Troude et Gabriel Milin, Labous ar Wirionez ha marvailhoù all, Skridoù Breizh, 1950, page 5)
« Il serait curieux », dit un autre, « d’entendre le pire menteur dans le pays, moi excepté, venir nous prêcher, à l’instar de Monsieur le curé dans la chaire, sur la vérité ! »
Ni rànco dont abenn da ellout en laza, Pa er cʼhavimp cousqet ; ze a vo ar güella.— (Alexandre Lédan, Buez ar Pêvar Mab Emon, Morlaix, 1848, page 416)
Nous devrons parvenir à pouvoir le tuer, quand nous le trouverons endormi ; ce sera le mieux.
Er gwelet a ran mat, amañ el liorzh : bez’ ez eus plant ha n’int ket bet hadet ganin hag a sav koulskoude hep bezañ goulennet aotre diganin.— (Job an Irien, Hadañ, in Ya !, no 890, 1er juillet 2022, page 9)
Je le vois bien, ici dans le jardin : il y a des plantes qui n’ont pas été semées par moi et qui poussent pourtant sans m’avoir demandé la permission.
Note
Mutation de k en cʼh après le pronom personnel er.
(Nom 1 et 3) Du proto-celtique *eriros, lui-même issu du indo-européen commun *h₃érō désignant un « grand oiseau ». Comparé au breton erer, au gallois eryr, et au vieil irlandais irar.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →
Contraction d'un ancien eder, de vieux norrois yðr, issu du proto-germanique *izwiz, datif/accusatif de *jūz. Le proto-germanique provenait de l’indo-européen commun *yū́.
Tant ni et er sont des formes de la seconde personne du pluriel, mais peuvent être utilisées comme forme de politesse à la deuxième personne du singulier (comme le vous en français).
La forme de courtoisie ni fut introduite en suédois en 1900 comme alternative aux modèles plus complexe utilisant la troisième personne du singulier conformément à leurs titres.
Bien que er et sa forme archaïque ers soient des pronoms possessifs, ils ont un génitif en ers et eders, qui n'est utilisé que dans des expressions comme ers majestät (votre majesté) et ers höghet (votre majesté).
(Adjectif) Issu du vieux turc er, provenant de proto-turc *ẹ̄r, qui, selon l'hypothèse critiquée altaïque, est possiblement dérivée du proto-altaïque *ḗre (« tôt »).
(Nom, verbe) Du vieux turc er, issu du proto-turc *ēr (« homme »), qui, selon l'hypothèse critiquée altaïque, est peut-être dérivée du proto-altaïque *ā́ri (~ *ḗra (« homme »). Rapproché du suffixe formant des noms : -er.