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(Nom commun 1) Conjecture de Victor Henry : mot formé des trois premières lettres de l'alphabet, comme nous dirions « chercher l’a b c d'une chose, l’épeler », pour « la décomposer en ses premiers éléments »[1].
An dug, ha n’en doa abeg ebet, betek neuze, da ziskrediñ war ar roue, ne c’hellas ket lavarout "nann".— (Langleiz, Romant ar Roue Arzhur, Éditions Al Liamm, 1975, page 38)
Le duc, qui n’avait aucune raison, jusqu’alors, de se méfier du roi, ne put dire "non".
Neuze, dibabet em eus da zanvez-arnod ur vro am eus abegoù e-leizh d’hecʼh anavezout un tammig ha d’he cʼharout dreist ar re-all : Kêr Vrest hag ar cʼhornad a zo stag outi.— (P. Rolland-Gwalcʼh, Hon dispacʼh hag hon istor, Al Liamm, no 36, janvier-février 1953, page 5)
J’ai donc choisi comme sujet d’essai un pays que j’ai toutes les raisons de connaître un peu et d’aimer plus que les autres : la ville de Brest et le territoire qui lui est attaché.
Critique négative, dans les expressions : kavout abeg e : trouver à redire à ; klask abeg e : chercher quelque chose à reprocher à.
Met Keban, e wreg, a gavas abeg e kement-se hag a damallas he fried da zilezel deveriou e stad evit redet da glevout sorcʼhennou goullo.— (Louis Dujardin, Sant Ronan, Imprimerie de la Presse Libérale, Brest, 1935, page 18)
Mais sa femme, Keban, trouva à redire à cela et elle accusa son mari de délaisser les devoirs de son état pour aller écouter des inepties.
N’eus forzh, distanet e oa kleñved amzer ar romantelezh, amzer ar faitazi, neuze e voe klasket abeg e KERVARKER, .— (Yann Kerlann, Petra eo "Barzaz Breiz" ?, in Skridoù Barzhed Breizh - Studi ha Kelenn 1, 1954, page 6)
Qu’importe, la fièvre du temps du romantisme, du temps de la fantaisie, était retombée et l’on chercha alors quelque chose à reprocher à La Villemarqué .