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Emprunté à l’ancien français abéquer : « s’abéquer » à quelqu’un, c’est se mettre bec à bec avec lui, pour mimer par dérision toutes les contorsions de son bec. Note : La différence inconciliable de sens empêche de rattacher ce mot à abeg, ou réciproquement. D’autre part, s’il était un composé breton de a- et beg, il ne pourrait avoir en breton que la forme *avegiñ.[1]
Tresañ a rae brav-tre, met evel ne gare na bezañ meulet, na bezañ abeget, ne veze ket gwelet e oberoù alies !— (Aimée Nemo, Va breur, p'edomp yaouank, ha koshoc'h, traduit par Ivona Martin, Al Liamm, no 190, septembre-octobre 1978, page 324)
Il dessinait très bien, mais comme il n’aimait ni être louangé, ni être critiqué, on ne voyait pas souvent ses œuvres !
Abegiñ a ra boaziadur re ledan an termen “entroadur” pa zegouezh gantañ Jung da gennotañ ar psikoz evel “neuroz entroadur”.— (Guy Étienne, Geriadur ar Bredelfennerezh e peder yezh : galleg, alamaneg, saozneg, brezhoneg - Dictionnaire de Psychanalyse en quatre langues : français, allemand, anglais, breton, Preder, 1983, page 182)
Il critique l’usage trop large du terme d’introversion qui conduit Jung à connoter la psychose comme “névrose d’introversion”.