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Alain était resté bouche bée et les yeux fixés sur une voiture qui arrivait du côté de la rue dé la Paix, au grand trot de deux superbes chevaux alezans : un landau découvert, un huit-ressorts à quatre places.— (Fortuné du Boisgobey, Double-Blanc, tome 2, Paris : chez Plon & Nourrit, 1889, p. 86)
Eh bien ! imaginez-vous que ce charmant cheval alezan et ce joli petit jockey à casaque rose m’avaient, à la première vue, inspiré une si vive sympathie— (Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, édition de G. Sigaux, 1981 (date de l’édition), volume 1, page 669)
Tchitchikov ignorait aussi bien Khvostyriov que la jument alezane.— (Nicolas Gogol, Les âmes mortes, 1842 ; traduction de Henri Mongault, 1949)
Le P. Jousse — car on ne lui dit pas mon lieutenant mais “mon Père” — me céda son propre cheval, un grand alezan dans le style de Page, tandis que lui montait un cheval de prise allemand et l’on partit s’apéritiver d’une trotte de 8 kilomètres dans des forêts splendides au crépuscule.— (Gabrielle Baron, Mémoire vivante : vie et œuvre de Marcel Jousse, 1981, page 50)
Près de la grille, un alezan tout sellé, qu’un vieux serviteur tient en bride.— (Michel Zévaco, Le Capitan, chapitre I, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
D’autre part, l’alezan n’est à sa place que dans les brancards d’un cabriolet ; c’est une bête encore jeune et orgueilleuse, qui ne mesure pas son effort. Attelé au landau, il tirerait du même pas qui lui est habituel et risquerait de se fatiguer.— (Marcel Aymé, La jument verte, Gallimard, 1933, collection Le Livre de Poche, page 76)