Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot bon marché. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot bon marché, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire bon marché au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot bon marché est ici. La définition du mot bon marché vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition debon marché, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Nous devons attirer ici l’attention sur l’essence de mirbane ou nitrobenzine qui a la même odeur que l’essence d’amandes amères et qui pour cette raison s’est trouvée employée pour parfumer des savons bon marché.— (Marcel Hégelbacher; La Parfumerie et la Savonnerie, 1924, page 29)
La margarine est initialement un dérivé animal, développé en France sous le Second Empire pour fournir aux pauvres une graisse bon marché.— (Erik Neveu, Sociologie politique des problèmes publics, 2015)
On passe chez le Pakos pour acheter de la bière et du vin bon marché. Personne n'a l’âge légal pour ça, mais Terry et Gent ont l'air d'avoir vingt-cinq ans, alors aucun problème pour se faire servir.— (Irvine Welsh, Glu, traduit de l'anglais par Laura Derajinski, Au diable vauvert, 2017)
(Vieilli) Qualité de ce qui est peu coûteux ou d’un bon rapport qualité-prix.
Aussi, elle acheta pour sa chambre une paire de rideaux jaunes à larges raies, dont M. Lheureux lui avait vanté le bon marché.— (Gustave Flaubert, Madame Bovary, 1857, troisième partie, chapitre III)
Ce dernier conservera toujours sa valeur pour la culture intensive ; les scories Thomas, grâce au bon marché de leur acide phosphorique, doivent servir seulement à l'amélioration des grandes étendues des sols de minime valeur.— (P. du Pré-Collot, « Revue agricole de l'étranger » dans Journal de l'agriculture, dirigé par Henry Sagnier, tome 1 de 1887, Paris : chez G. Masson, 1887, p. 415)